[Le critique en poésie est-il celui qui expose ses valeurs ?]

—
Sans l’image
(à cliquer)

—
dans
« DE L’ATTITUDE CRITIQUE
DEVANT LA POÉSIE »
(Extrême exigence de René Daumal et du Grand Jeu
concernant le rôle de la critique
une position qui serait de nos jours très
…
critiquée
…
Un coup d’épée
dans le sac de sable
qui sert de ventre
aux bavards
à style.
—–
parcours de lecture

—
En clair

Un extrait plus long

Lecture au-delà de ces extraits
Merci de signaler une erreur
Quant aux critiques proprement dits, j’en trouve deux grandes catégories ; les premiers jugent le poète avec toujours la supposition sous-entendue qu’il écrivité librement son œuvre, choisissant telle expression plutôt que telle autre au nom de principes esthétiques, moraux ou logiques, les mêmes qui servent au critique à juger le poème. Les seconds tentent d’expliquer ou de justifier l’oeuvre en la montrant clairement déterminée.
Ce que j’ai dit plus haut de la critique en général condamne les premiers ; ils jugent le poème selon des préjugés propres à eux, qu’ils prêtent arbitrairement au poète. Préjugés esthétiques : « comme le Bateau Ivre est beau ! quelle maîtrise du rythme et du vocabulaire ! quelle science des sonorités ! … » ou : « comme les Illuminations sont laides ! quel manque de composition ! quelle méconnaissance de la vraie beauté !… »
Voilà deux opinions – et l’on en a exprimé certes de plus stupides – aussi tristement bêtes l’une que l’autre.
WordPress:
J'aime chargement…
Articles similaires