LES BIENVEILLANTES – JONATHAN LITTELL – 05

« Et puis les choses se sont calmées,…

ILS ONT VITE ARRETE DE FUSILLER LES GENS  ILS NE SE FATIGUAIENT MEME PLUS A LES METTRE EN PRISON

Extrait du roman « Les bienveillantes »
de Jonathan Littell

Parcours de lecture
ILS ONT VITE ARRETE DE FUSILLER LES GENS  ILS NE SE FATIGUAIENT MEME PLUS A LES METTRE EN PRISON-s

Extrait en clair

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On peut s’aider des TAGS
ils donnent certains mots de la grille.

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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance


Et puis les choses se sont calmées,

Ils ont vite arrêté de fusiller les gens, ils ne se fatiguaient même plus à les mettre en prison

LES BIENVEILLANTES – JONATHAN LITTELL – 02

JE PLACERAIS UNE GRENADE TOUT CONTRE MON COEUR ET PARTIRAIS DANS UN VIF ECLAT DE JOIE

 Citation extraite du roman « Les bienveillantes » de Jonathan Littell

(solution à venir)


Solution de la grille précédente

Ecrit sur les murs de Paris de Anne Onyme

JE PENSE AU JOUR OU LES CHEVAUX ONT APPRIS A PLEURER-S

JE PENSE AU JOUR OU LES CHEVAUX ONT APPRIS A PLEURER

Cette phrase, dont on ignore l’auteur, est écrite sur un grand nombre de murs de la capitale. Christophe Grossi l’évoque dans un texte intitulé « dans l’ombre le monde (13/s30)« . Texte où il donne une photo d’un exemplaire qui se trouve (peut-être a-t-il disparu depuis ?) rue Jean-Pierre Timbaud, Paris 11e.

Beaucoup ont cité cette phrase étrange et ont formulé des hypothèses quant à sa signification.

(Je me risque à donner la mienne.) Peut-être y-a-t-il une référence aux fameux Houyhnhnms de Jonathan Swift.
Ces chevaux beaux, nobles et intelligents qui ont (?) supplanté l’homme décadent sur la Terre.
La sensibilité disparaissant des humains pour apparaître chez les chevaux serait alors le premier pas vers cette déchéance de l’un et l’apparition d’une conscience morale chez l’autre…



Voyage au pays des Houyhnhnms de Jonathan Swift