[Rien n’est épargné dans cette première partie du texte qui se donne comme but (mission) de définir la Critique avec un grand C. Détruire l’inutile est aussi de son devoir (!?)]

—
Sans l’image
(à cliquer)

—
dans
« DE L’ATTITUDE CRITIQUE
DEVANT LA POÉSIE »
(Extrême exigence de René Daumal et du Grand Jeu
concernant le rôle de la critique
une position qui serait de nos jours très
critiquée
…
Point de « départ » bien nécessaire pourtant
que cette révolte à propos du traitement qui est fait
du Verbe, notamment.
Un peu excessif peut-être
…
mais ça réveille !
(bis))
—–
parcours de lecture

—
En clair

Un extrait plus long

Lecture de ces pages
Merci de signaler une erreur
Cette justification d’une œuvre ne peut pas être une plus ou moins vague approbation ; elle doit être une stricte démonstration de la nécessité externe et interne de l’œuvre. Justifier l’œuvre, c’est établir qu’elle est justement placée parmi les choses extérieures là où elle doit être, et qu’intérieurement toutes ses parties sont justement placées les unes par rapport aux autres telles qu’elles doivent l’être ; c’est prouver qu’elle est nécessaire parce que déterminée, dans sa nature organique, du dehors et du dedans.
Je vois maintenant que nommer ce travail une critique, au sens philosophique du terme, n’est pas abuser du langage, et que ce sont les autres qui se trompent, qui appellent ainsi les plus stériles bavardages.
J’ai dit que justifier seulement une œuvre c’était la glorifier : mais ne voyez-vous pas qu’après l’examen critique sévèrement fait de la façon que je viens de le définir, il ne resterait qu’une goutte d’eau pure de tout l’océan littéraire, ce royaume du plus vain caprice où tous les esprits faciles du siècle nagent leur nage de parasites ; qu’une goutte d’eau pure, oui, mais intensément grosse du déluge.
WordPress:
J’aime chargement…