FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – (LE FERMIER GILLES DE HAM) – 07

 « — si je puis me permettre de le demander, pourquoi tous ces chevaliers ? demanda Chrysophylax…
 

LES CHEVALIERS-letc1

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LES CHEVALIERS-letc0

 

Extrait  du conte
« Le fermier Gilles de Ham »
du recueil  « Faërie »
écrit par J.R.R. Tolkien

Parcours de lecture
LES CHEVALIERS-s

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Un extrait plus long
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Il se mit à trembler et à reculer, et tout le feu qu’il avait en lui se refroidit.
— Vous n’êtes pas venu pour me tuer, j’espère, bon maître ? gémit-il.
— Non, non ! répondit le fermier. Je n’ai pas parlé de tuer.
La jument grise renifla.
— Alors, si je puis me permettre de le demander, pourquoi tous ces chevaliers ? demanda Chrysophylax. Les chevaliers tuent toujours les dragons, si nous ne les tuons pas d’abord.
— Je n’ai rien à voir avec eux. Ils ne me sont rien, dit Gilles. De toute façon, ils sont tous morts ou partis, à présent. Mais qu’en est-il de ce que vous avez dit à la dernière Épiphanie ?
— Quoi donc ? fit le dragon avec inquiétude.
— Vous avez près d’un mois de retard, dit Gilles, et le terme est largement échu. Je suis venu recouvrer la créance. Vous devriez solliciter mon pardon de tous les ennuis que vous m’avez causés.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – (LE FERMIER GILLES DE HAM) – 06

 « — Holà ! s’écria le dragon, s’arrêtant pile. Qu’avez-vous là ?.

 CE N EST QUE MORDQUEUES QUI M A ETE DONNEE PAR LE ROI REPONDIT GILLES-let

                                                                              

Extrait  du conte
« Le fermier Gilles de Ham »
du recueil  « Faërie »
écrit par J.R.R. Tolkien

Parcours de lecture
CE N EST QUE MORDQUEUES QUI M A ETE DONNEE PAR LE ROI REPONDIT GILLES-s

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Mais le vieux benêt ne l’était pas autant qu’il en avait l’air, et il ne quittait pas le dragon de l’œil, tandis même qu’il essayait de se remettre en selle. La jument avait toutefois d’autres idées, et elle se mit à ruer et à faire des écarts quand Gilles voulut monter. Le dragon, pris d’impatience, s’apprêta à bondir.
— Excusez-moi ! dit-il. N’avez-vous pas perdu quelque chose ?
C’était un vieux truc, mais il réussit ; car Gilles avait, en effet, perdu quelque chose. Dans sa chute, il avait laissé tomber Caudimordax (ou plus vulgairement Mordqueues), et l’épée gisait sur le bord de la route. Il se baissa pour la ramasser, et le dragon s’élança. Mais pas aussi vite que Mordqueues. Aussitôt que l’épée fut dans la main du fermier, elle bondit en avant dans un éclair, droit sur les yeux du dragon.
— Holà ! s’écria le dragon, s’arrêtant pile. Qu’avez-vous là ?
— Ce n’est que Mordqueues, qui m’a été donnée par le Roi, répondit Gilles.
— Erreur n’est pas compte ! dit le dragon. Je vous demande pardon. (Il se coucha et s’aplatit, et le Fermier Gilles commença à se sentir plus à l’aise.) Je ne trouve pas que vous m’ayez traité loyalement.
— Comment cela ? demanda Gilles. Et d’ailleurs pourquoi le ferais-je ?
— Vous m’avez caché votre honorable nom et vous avez prétendu que notre rencontre était fortuite ; et pourtant vous êtes manifestement un chevalier de haut lignage. Il était d’usage autrefois pour les chevaliers, Monsieur, de lancer un défi en pareil cas, après échange convenable de titres et de lettres de créance.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – (LE FERMIER GILLES DE HAM) 05

 « — Bonjour ! dit le dragon. Vous semblez surpris.
— Bonjour ! répondit Gilles. Je le suis.
— Excusez-moi, dit le dragon. (Il avait dressé une oreille très soupçonneuse au tintement des anneaux lors de la chute du fermier.) Excusez-moi de vous poser cette question, mais serait-ce que vous me cherchiez, par hasard ?
— Non, certes ! répondit le fermier. Qui aurait pensé vous voir ici ? Je faisais seulement un tour à cheval.
Il sortit en hâte à quatre pattes du fossé et se rapprocha à reculons de la jument grise. Elle s’était redressée et broutait l’herbe du bord de la route, d’un air tout à fait détaché.

 C EST DONC UNE HEUREUSE CHANCE QUE NOUS NOUS RENCONTRONS REPRIT LE DRAGON TOUT LE PLAISIR EST POUR MOI-let

                                                                              … Ce sont là vos habits de fête, je suppose.
Une nouvelle mode, peut-être ? »

Extrait du recueil de contes « Faërie »
de J.R.R. Tolkien

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C EST DONC UNE HEUREUSE CHANCE QUE NOUS NOUS RENCONTRONS REPRIT LE DRAGON TOUT LE PLAISIR EST POUR MOI-s

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Et voilà que le dragon était couché à moitié en travers d’une haie brisée, avec son horrible tête au milieu de la route.
— Au secours ! cria Garm, décampant.
La jument grise tomba, plouf ! sur son arrière-train, et le Fermier Gilles fut projeté en arrière dans un fossé. Quand il sortit la tête, le dragon bien éveillé le regardait.
— Bonjour ! dit le dragon. Vous semblez surpris.
— Bonjour ! répondit Gilles. Je le suis.
— Excusez-moi, dit le dragon. (Il avait dressé une oreille très soupçonneuse au tintement des anneaux lors de la chute du fermier.) Excusez-moi de vous poser cette question, mais serait-ce que vous me cherchiez, par hasard ?
— Non, certes ! répondit le fermier. Qui aurait pensé vous voir ici ? Je faisais seulement un tour à cheval.
Il sortit en hâte à quatre pattes du fossé et se rapprocha à reculons de la jument grise. Elle s’était redressée et broutait l’herbe du bord de la route, d’un air tout à fait détaché.
— C’est donc une heureuse chance que nous nous rencontrons, reprit le dragon. Tout le plaisir est pour moi. Ce sont là vos habits de fête, je suppose. Une nouvelle mode, peut-être ?
Le chapeau de feutre du Fermier Gilles était tombé et sa cape grise s’était entrouverte ; mais il paya d’effronterie.
— Oui, dit-il, c’est flambant neuf. Mais il faut que je rattrape mon chien. Il doit courir après des lapins, j’imagine.
— Moi je ne pense pas, dit Chrysophylax, se léchant les babines (signe d’amusement). Il sera rentré à la maison longtemps avant vous, je pense. Mais poursuivez votre chemin, je vous en prie, Maître… Voyons, je ne connais pas votre nom, me semble-t-il.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – 04


À voir la rapidité avec laquelle La bise fraise semble dévorer les grilles, je pourrais en déduire (?) qu’il me faut en glisser de temps à autre une un peu plus difficile à déchiffrer.

C’est ce que je fais ici en enlevant le repérage des mots.

Mais je laisse tout de même la possibilité d’avoir accès à la grille plus facile.


 » Gilles les attendait.
Il n’avait plus d’excuse à avancer ; il mit donc le pourpoint et la culotte de mailles.
Le meunier riait sous cape.
Puis Gilles enfila ses bottes à genouillères et y fixa une vieille paire d’éperons ; il coiffa aussi le casque recouvert de cuir.
Mais au dernier moment, il enfonça par-dessus un vieux chapeau de feutre et, par-dessus la cotte de mailles, il jeta sa grande cape grise.

— Pourquoi cela, Maître ? demandèrent-ils.
— Eh bien, répondit Gilles,…

SI VOTRE IDEE DE LA CHASSE AU DRAGON EST D Y ALLER EN TINTINNABULANT COMME LE CARILLON DE CANTORBERY CE N EST PAS LA MIENNE-lets

                                                                              … Il ne me paraît pas très raisonnable de faire savoir trop tôt à un dragon qu’on arrive le long de la route. Et un casque est un casque, donc un défi au combat. Que le dragon ne voie que mon vieux chapeau au-dessus de la haie et peut-être pourrai-je arriver un peu plus près avant que les difficultés ne commencent.

(grille plus facile – cliquer dessus pour l’ouvrir)

SI VOTRE IDEE DE LA CHASSE AU DRAGON EST D Y ALLER EN TINTINNABULANT COMME LE CARILLON DE CANTORBERY CE N EST PAS LA MIENNE-let

Extrait du recueil de contes « Faërie »
de J.R.R. Tolkien

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Gilles les attendait. Il n’avait plus d’excuse à avancer ; il mit donc le pourpoint et la culotte de mailles. Le meunier riait sous cape. Puis Gilles enfila ses bottes à genouillères et y fixa une vieille paire d’éperons ; il coiffa aussi le casque recouvert de cuir. Mais au dernier moment, il enfonça par-dessus un vieux chapeau de feutre et, par-dessus la cotte de mailles, il jeta sa grande cape grise.
— Pourquoi cela, Maître ? demandèrent-ils.
— Eh bien, répondit Gilles, si votre idée de la chasse au dragon est d’y aller en tintinnabulant comme le carillon de Cantorbéry, ce n’est pas la mienne. Il ne me paraît pas très raisonnable de faire savoir trop tôt à un dragon qu’on arrive le long de la route. Et un casque est un casque, donc un défi au combat. Que le dragon ne voie que mon vieux chapeau au-dessus de la haie et peut-être pourrai-je arriver un peu plus près avant que les difficultés ne commencent.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – 03

IL NE SIFFLAIT JAMAIS EN TRAVAILLANT A MOINS QUE QUELQUE DESASTRE NE SE FUT PRODUIT APRES QU IL L EUT PREDIT

Extrait du recueil de contes « Faërie »
de J.R.R. Tolkien

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IL NE SIFFLAIT JAMAIS EN TRAVAILLANT A MOINS QUE QUELQUE DESASTRE NE SE FUT PRODUIT APRES QU IL L EUT PREDIT-s

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Il ne sifflait jamais en travaillant, à moins que quelque désastre, comme la gelée en mai, ne se fut produit après qu’il l’eut prédit.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – 02

OUILLE FIT LE CHIEN BONDISSANT DE COTE AVEC UNE HABILETE DUE A UNE LONGUE PRATIQUE AU SECOURS AU SECOURS AU SECOURS

Extrait du recueil de contes « Faërie »
de J.R.R. Tolkien

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OUILLE FIT LE CHIEN BONDISSANT DE COTE AVEC UNE HABILETE DUE A UNE LONGUE PRATIQUE AU SECOURS AU SECOURS AU SECOURS-s

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Ouille fit le chien, bondissant de côté avec une habileté due à une longue pratique, au secours, au secours, au secours.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – 01

LA L'AIR EST SI PUR QUE L'OEIL PEUT VOIR LA LANGUE ROUGE DES OISEAUX QUI CHANTENT DANS LES ARBRES DE L'AUTRE COTE DE LA VALLEE

Extrait du recueil de contes « Faërie »
de J.R.R. Tolkien

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LA L'AIR EST SI PUR QUE L'OEIL PEUT VOIR LA LANGUE ROUGE DES OISEAUX QUI CHANTENT DANS LES ARBRES DE L'AUTRE COTE DE LA VALLEE-s

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