Chez Publie.net
Isabelle Pariente-Butterlin nous dit quelques mots à propos de la croisée des marelles :
« Kafka pense que le bonheur est quelque chose de mousseux. Quand nous les avons conçues, chacune de ces croisées des marelles était une bulle à l’intérieur de la structure du monde. C’est très précisément une histoire d’amitié qui est racontée ici, entre l’image et le texte, qui se répondent, s’entendent, se tiennent et forment une bulle de rêverie à l’intérieur du monde. »
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Extrait du recueil
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Un extrait plus long

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Comme un jour de neige, au petit matin, la neige est encore intacte, personne ne l’a foulée salie écrasée et le silence qui plane dans l’air comme un parfum est délicieux et absolument inespéré. D’autant plus gracieux que sa grâce éphémère et fragile disparaîtra bientôt sous les pneus encrassés des voitures dans un craquement crissement frottement et les pas de l’insomniaque sont seuls à l’apprécier dans ce que l’angoisse lui a permis de gagner sur l’angoisse.
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