[Rien n’est épargné dans cette première partie du texte qui se donne comme but (mission) de définir la Critique avec un grand C. Tout est canaille !]

—
Sans l’image
(à cliquer)

—
dans
« DE L’ATTITUDE CRITIQUE
DEVANT LA POÉSIE »
(Extrême exigence de René Daumal et du Grand Jeu
concernant le rôle de la critique
une position qui serait de nos jours très
critiquée
…
Point de « départ » bien nécessaire pourtant
que cette révolte à propos du traitement qui est fait
du Verbe, notamment.
Un peu excessif peut-être
…
mais ça réveille !)
—–
parcours de lecture

—
En clair

Un extrait plus long

Lecture de ces pages
Merci de signaler une erreur
Je ne suis d’abord pas sûr qu’un livre comme celui de Roland de Reneville sur Rimbaud le voyant soit ce que le langage commun appelle un ouvrage de critique ; mais je préfère user de charité envers le langage commun en étendant un peu le sens de ce mot, pour pouvoir le prononcer autrement qu’avec la grimace du dégoût.
Aujourd’hui que toute parole vivante ne peut s’imposer qu’en s’entourant de la plus extrême rigueur, au milieu du pullulement littéraire des recettes pratiques grâces auxquelles le premier venu, pour peu qu’il ait la plume agile, peut imiter, en agitant de froid cadavres, un torrent de révélations, aujourd’hui que le Verbe est prostitué, la Beauté vendue à la canaille du pinceau ou de la plume, La Vérité vendue à la canaille de la science qui construit les machines à abrutir et à tuer, le Bien vendu à la canaille législative et policière, l’Esprit vendu à la canaille ecclésiastique, aujourd’hui c’est glorifier une entreprise que simplement la justifier.
WordPress:
J’aime chargement…