« Une société toujours plus malade, mais toujours plus puissante, …
…en tant que planète malade. »
Extrait de l’essai « La planète malade »
de Guy Debord
—
—
En clair (sur babelio)
*
—
____________________________
On peut s’aider des TAGS
ils donnent certains mots de la grille.
___________________________________
Pour agrandir la grille de jeu, cliquer dessus
N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance
Cependant, ce qui se passe n’est rien de foncièrement nouveau : c’est seulement la fin forcée du processus ancien. Une société toujours plus malade, mais toujours plus puissante, a recréé partout concrètement le monde comme
environnement et décor de sa maladie, en tant que planète malade.
Une société qui n’est pas encore devenue homogène et qui n’est pas déterminée par elle-même, mais toujours plus par une partie d’elle même qui se place au-dessus d’elle, qui lui est extérieure, a développé un mouvement de domination de la nature qui ne s’est pas dominé lui-même.