L’ETRANGER – HOWARD PHILIPPS LOVECRAFT – (Le livre) – 3

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…Il avait refusé que je le paye, et c’est seulement longtemps après que je devinai pourquoi. « 

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Lecture plus lente

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Extrait de la nouvelle « le livre »
du recueil  « L’étranger »
de Howard Phillips Lovecraft

Traduction de François Bon

parcours de lecture

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En clair (sur babelio)

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Extrait plus complet

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The Lovecraft Monument
Le site où l’on peut suivre le formidable travail (de traduction) de François Bon
pour redonner au verbe de H P Lovecraft, en français,
toute la puissance et le pouvoir poétique qu’il a dans la langue de l’auteur.

(librairie – ensemble des œuvres disponibles

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Les TAGS
donnent certains mots de la grille.

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Je m’en souviens, ce vieil homme me lorgnait en gloussant et me fit un signe curieux de la main quand j’emportai le livre. Il avait refusé que je le paye, et c’est seulement longtemps après que je devinai pourquoi.

L’ETRANGER – HOWARD PHILIPPS LOVECRAFT – (Le livre) – 1


L ENDROIT ETAIT VIEUX SI VIEUX AVEC DES ETAGERES MONTANT JUSQU AUX PLAFONDS REMPLIES DE VOLUMES POURRISSANTS-let

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Extrait de la nouvelle « le livre »
du recueil  « L’étranger »
de Howard Phillips Lovecraft

Traduction de François Bon

parcours de lecture

L ENDROIT ETAIT VIEUX SI VIEUX AVEC DES ETAGERES MONTANT JUSQU AUX PLAFONDS REMPLIES DE VOLUMES POURRISSANTS-s

En clair (sur babelio)

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L ENDROIT ETAIT VIEUX SI VIEUX AVEC DES ETAGERES MONTANT JUSQU AUX PLAFONDS REMPLIES DE VOLUMES POURRISSANTS-txt

The Lovecraft Monument
Le site où l’on peut suivre le formidable travail (de traduction) de François Bon
pour redonner au verbe de H P Lovecraft, en français,
toute la puissance et le pouvoir poétique qu’il a dans la langue de l’auteur.
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D’un côté je sais que je parle, j’ai cette impression vague que peut-être il faudrait une atroce médiation pour porter ce que je dis à l’endroit où je voudrais qu’on le comprenne. Mon identité est un brouillard si ahurissant. Je pense que j’ai souffert d’un choc, un grand choc – peut-être venu des monstrueuses excroissances des cycles de mon unique et incroyable expérience.
Et que ces cycles d’expérience dérivaient tous évidemment de ce livre mangé aux vers. Je me souviens de quand je l’ai trouvé – dans la faible lumière près de la rivière noire et huileuse où toujours tourbillonnent les brumes. L’endroit était vieux, si vieux, avec des étagères montant jusqu’aux plafonds, remplies de volumes pourrissants qu’on atteignait à travers une suite sans fin de pièces sans fenêtres et d’alcôves. Et encore à leur pied les tas sans forme d’un grand nombre d’autres livres, à même le plancher ou dans des coffres grossiers ; et c’est dans un de ces tas que je l’avais trouvé. Je n’ai jamais su son titre, parce que les premières pages manquaient ; mais il était tombé ouvert vers la fin, et j’y saisis d’un regard ceci, qui me fit chanceler le sens.