Une rencontre permise par le partage de Dominique Hasselmann qui propose depuis avant hier le partage de sa visite attentive de l’exposition André Derain au Centre Pompidou.*
Les toiles sur lesquelles il a porté le regard m’ont saisi par … (indicible)
et m’ont donné l’envie d’une promenade dans l’oeuvre de celui qui a écrit (rapporté sur son site par Dominique Hasselmann)
« En somme, rien n’est plus difficile que la simplicité »
(Une simplicité qui n’a rien à voir avec l’abstraction sèche de la mesure)
C’est ainsi que j’ai rencontré, abolissant pour un temps … le temps,
la nièce du peintre.
[Il n’est pas certain que ce que j’évoque soit possible, à cet âge, de nos jours.]
Dominique Hasselmann consacre trois pages de son site à André Derain
Merci, Derain [1/3]
Merci, Derain [2/3]
Merci, Derain [3/3]
Face à l’adolescente peinte avec tendresse par son oncle André Derain me revient la pure chute en amour possible à 13 ans.