AGENT IXE 13 – LE REPAIRE DE LA MORT – 1 – PIERRE SAUREL

le repaire de la mort - affiche

Les aventures de l’agent IXE-13 fleuron des services secret du Canada pendant la seconde guerre mondiale.

Un feuilleton de Pierre Saurel

Sa première aventure,
fin du premier épisode

« Le repaire de la mort »

 


 

[La phrase qui entretient le suspens
et tient le lecteur en haleine
jusqu’au prochain épisode …]

IXE 13 POURRA T IL MENER - letcr1-exp

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Parcours de lecture (à cliquer pour remettre à l’endroit)

IXE 13 POURRA T IL MENER - sr

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La phrase en clair
IXE 13 POURRA T IL MENER - txt0r


– Parbleu, vous avez raison, dit Fallot.
– Et il faut absolument que je découvre leur poste de ravitaillement.
– Mais comment allez-vous vous y prendre ?
– En continuant mes recherches.
– Nous n’avons plus de yacht, dit Marius.
– L’Amirauté me passe un navire… un bateau plus gros que ton yacht, Marius, ainsi nous pourrons continuer notre travail.
– Vous voulez que je continue de vous accompagner ? demanda le brave Marseillais.
– Pourquoi pas ?
– Peuchère, je suis bien content.
Une heure plus tard, les quatre hommes montaient sur le bateau et recommençaient leur inspection.
IXE-13 pourra-t-il mener à bien la mission qu’on lui a confiée ??

L’ÉVIDENCE ABSURDE – RENÉ DAUMAL – 3

COMMENT PEUT IL ETRE - letc1

Une lecture plus lente
COMMENT PEUT IL ETRE - l n&b

Extrait du recueil d’essais « L’Evidence absurde 1926-1934 – Essais et notes 1 »
de René Daumal

dans « La révolte et l’ironie »

parcours de lecture
COMMENT PEUT IL ETRE - s

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COMMENT PEUT IL ETRE - txt0

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Comment peut-il être dans cet oubli de soi, celui qui est tellement attentif sur lui-même, qu’il n’ose seulement se remuer ?  

CONTES DU YIDDISHLAND – BEN ZIMET – 4

« Ton fils, qui est pauvre, a été plus généreux que toi, lui déclarèrent les sages.
COMMENT OSEZ - letc1
Lecture plus lente
COMMENT OSEZ - let n&b

Extrait du roman « Contes du Yiddishland : paroles du peuple juif  »
de Ben Zimet

Parcours de lecture
COMMENT OSEZ - s

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L’extrait complet

COMMENT OSEZ - txt1

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Ton fils, qui est pauvre, a été plus généreux que toi, lui déclarèrent les sages.
Comment osez-vous me comparer à mon fils ? Il a un père qui est riche lui ! Moi je n’ai plus de père !

CAMPEMENTS – ANDRÉ DHOTEL – 20

Un livret
entièrement dédié à l’oeuvre d’André Dhôtel
(28 extraits provenant de quatorze romans et nouvelles
à redécouvrir en mots liés)
Pour saluer Dhôtel- livret N°1- 12 aout 2015

(cliquer sur l’image pour lire le livret)


  



ELLE MARCHERA - letc1

 (Pour une lecture plus ralentie encore)

ELLE MARCHERA - let1


Extrait du roman « Campement »
de André Dhotel

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Parcours de lecture

ELLE MARCHERA - s

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ELLE MARCHERA - txt0


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Elle marchera auprès de lui par le mauvais temps et il devinera sous sa robe grossière la beauté de ses épaules.

LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 24


ET IL SUFFISAIT MAINTENANT-let2

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(Pour ceux qui désirent des grilles plus difficiles)

ET IL SUFFISAIT MAINTENANT-let1

Extrait du roman « Le grand Meaulnes » de Alain Fournier

Parcours de lecture

ET IL SUFFISAIT MAINTENANT- s

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ET IL SUFFISAIT MAINTENANT- txt1

Un extrait plus long qui contient cette citation

ET IL SUFFISAIT MAINTENANT- txt2

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De temps à autre une goutte de pluie venait rayer la vitre qui donnait sur la cour aux voitures et sur le bois de sapins.
Apaisé, depuis qu’il avait rangé son appartement, le grand garçon se sentit parfaitement heureux.
Il était là, mystérieux, étranger, au milieu de ce monde inconnu, dans la chambre qu’il avait choisie.
Ce qu’il avait obtenu dépassait toutes ses espérances. Et il suffisait maintenant à sa joie de se rappeler ce visage de jeune fille, dans le grand vent, qui se tournait vers lui…

LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 22

ELLE ETAIT AUPRES DE LUI -let                                      … et qui déjà tremble du désir de reprendre son vol. »
                                                                                 

Extrait du roman « Le grand Meaulnes » de Alain Fournier

Parcours de lecture

ELLE ETAIT AUPRES DE LUI -s

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ELLE ETAIT AUPRES DE LUI -txt

Un extrait plus long qui contient cette citation

ELLE ETAIT AUPRES DE LUI -txt2

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Et ils parlèrent un instant encore. Ils parlèrent lentement, avec bonheur – avec amitié. Puis l’attitude de la jeune fille changea. Moins hautaine et moins grave, maintenant, elle parut aussi plus inquiète. On eût dit qu’elle redoutait ce que Meaulnes allait dire et s’en effarouchait à l’avance. Elle était auprès de lui toute frémissante, comme une hirondelle un instant posée à terre et qui déjà tremble du désir de reprendre son vol.
« À quoi bon ? À quoi bon ? » répondait-elle doucement aux projets que faisait Meaulnes.
Mais lorsqu’enfin il osa lui demander la permission de revenir un jour vers ce beau domaine :
« Je vous attendrai », répondit-elle simplement.
Ils arrivaient en vue de l’embarcadère. Elle s’arrêta soudain et dit pensivement :
« Nous sommes deux enfants ; nous avons fait une folie. Il ne faut pas que nous montions cette fois dans le même bateau. Adieu, ne me suivez pas. »
Meaulnes resta un instant interdit, la regardant partir. Puis il se reprit à marcher. Et alors la jeune fille, dans le lointain, au moment de se perdre à nouveau dans la foule des invités, s’arrêta et, se tournant vers lui, pour la première fois le regarda longuement.
Était-ce un dernier signe d’adieu ? Était-ce pour lui défendre de l’accompagner ? Ou peut-être avait-elle quelque chose encore à lui dire ?…

CAMPEMENT – ANDRÉ DHOTEL – 08

« Il allait de table en table pour apprendre à écrire aux petits qui avaient des visages pleins d’encre…

JACQUES PENSE QUE JEANNE A UNE ROBE BRUNE UNE ROBE BLEUE ET QU ELLE EST PERDUE POUR LUI-let

                                               …  Pendant les récréations, le vent amer s’engouffre sous le préau. Les écoliers, en grelottant, atteignent les paradis des jeux de marelle. »

                         —                            

Extrait du roman « Campement »
de André Dhotel

 —

Parcours de lecture

JACQUES PENSE QUE JEANNE A UNE ROBE BRUNE UNE ROBE BLEUE ET QU ELLE EST PERDUE POUR LUI-s

En clair (extrait complet sur babelio)

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JACQUES PENSE QUE JEANNE A UNE ROBE BRUNE UNE ROBE BLEUE ET QU ELLE EST PERDUE POUR LUI-txt

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Un peu au-delà de l’extrait

JACQUES PENSE QUE JEANNE A UNE ROBE BRUNE UNE ROBE BLEUE ET QU ELLE EST PERDUE POUR LUI-txt2


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A huit heures, il se rendait à l’école. Les élèves chantaient leurs leçons.
Il leur expliquait les phrases des atlas : « Dans notre hémisphère, plus on monte vers le nord, plus on a froid. »
Il allait de table en table pour apprendre à écrire aux petits qui avaient des visages pleins d’encre.
Jacques pense que Jeanne a une robe brune, une robe bleue, et qu’elle est perdue pour lui.
Pendant les récréations, le vent amer s’engouffre sous le préau. Les écoliers, en grelottant, atteignent les paradis des jeux de marelle. Les écoliers s’extasient à quatre pattes devant les billes de verre.

A onze heures, la classe était terminée. Jacques allait prendre le repas que Mme Prunelle lui préparait et il s’asseyait auprès de la fenêtre : les volés de corbeaux retombaient de travers dans le champ.

LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 19

« Perplexe, il se demandait s’il allait les accompagner,…

LORSQUE LA JEUNE FILLE SE TOURNANT IMPERCEPTIBLEMENT VERS LUI DIT A SA COMPAGNE-let                                                                                    … Presque aussitôt un des petits qui étaient par terre s’approcha, se pendit à son bras et grimpa sur son genou pour regarder en même temps que lui ; un autre en fit autant de l’autre côté. Alors ce fut un rêve comme son rêve de jadis. Il put imaginer longuement qu’il était dans sa propre maison, marié, un beau soir, et que cet être charmant et inconnu qui jouait du piano, près de lui, c’était sa femme »

Extrait du roman « Le grand Meaulnes »
de Alain Fournier

Parcours de lecture

LORSQUE LA JEUNE FILLE SE TOURNANT IMPERCEPTIBLEMENT VERS LUI DIT A SA COMPAGNE-s

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LORSQUE LA JEUNE FILLE SE TOURNANT IMPERCEPTIBLEMENT VERS LUI DIT A SA COMPAGNE-txt2

La phrase complète

LORSQUE LA JEUNE FILLE SE TOURNANT IMPERCEPTIBLEMENT VERS LUI DIT A SA COMPAGNE-txt

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Désœuvré, le promeneur erra un long moment sur la rive sablée comme un chemin de halage. Il examinait curieusement les grandes portes aux vitres poussiéreuses qui donnaient sur des pièces délabrées ou abandonnées, sur des débarras encombrés de brouettes, d’outils rouillés et de pots de fleurs brisés, lorsque soudain, à l’autre bout des bâtiments, il entendit des pas grincer sur le sable.
C’étaient deux femmes, l’une très vieille et courbée ; l’autre, une jeune fille, blonde, élancée, dont le charmant costume, après tous les déguisements de la veille, parut d’abord à Meaulnes extraordinaire.
Elles s’arrêtèrent un instant pour regarder le paysage, tandis que Meaulnes se disait, avec un étonnement qui lui parut plus tard bien grossier :
« Voilà sans doute ce qu’on appelle une jeune fille excentrique – peut-être une actrice qu’on a mandée pour la fête. »

Cependant, les deux femmes passaient près de lui et Meaulnes, immobile, regarda la jeune fille.
Souvent, plus tard, lorsqu’il s’endormait après avoir désespérément essayé de se rappeler le beau visage effacé, il voyait en rêve passer des rangées de jeunes femmes qui ressemblaient à celle-ci. L’une avait un chapeau comme elle et l’autre son air un peu penché ; l’autre son regard si pur ; l’autre encore sa taille fine, et l’autre avait aussi ses yeux bleus ; mais aucune de ces femmes n’était jamais la grande jeune fille.
Meaulnes eut le temps d’apercevoir, sous une lourde chevelure blonde, un visage aux traits un peu courts, mais dessinés avec une finesse presque douloureuse. Et comme déjà elle était passée devant lui, il regarda sa toilette, qui était bien la plus simple et la plus sage des toilettes…
Perplexe, il se demandait s’il allait les accompagner, lorsque la jeune fille, se tournant imperceptiblement vers lui, dit à sa compagne : « Le bateau ne va pas tarder, maintenant, je pense ?… »
Et Meaulnes les suivit. La vieille dame, cassée, tremblante, ne cessait de causer gaiement et de rire.
La jeune fille répondait doucement. Et lorsqu’elles descendirent sur l’embarcadère, elle eut ce même regard innocent et grave, qui semblait dire :
« Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? Je ne vous connais pas. Et pourtant il me semble que je vous connais. »
D’autres invités étaient maintenant épars entre les arbres, attendant. Et trois bateaux de plaisance accostaient, prêts à recevoir les promeneurs. Un à un, sur le passage des dames qui paraissaient être la châtelaine et sa fille, les jeunes gens saluaient profondément, et les demoiselles s’inclinaient. Étrange matinée ! Étrange partie de plaisir ! il faisait froid malgré le soleil d’hiver, et les femmes enroulaient autour de leur cou ces boas de plumes qui étaient alors à la mode…

L’ÉVIDENCE ABSURDE – RENÉ DAUMAL – 02

CHACUN A AINSI AU DESSUS DE LUI UN PLAFOND QU IL CONSIDERE COMME L ABSOLU DE SOI MEME-let

Extrait du recueil d’essais « L’Evidence absurde 1926-1934 – Essais et notes 1 »
de René Daumal

parcours de lecture
CHACUN A AINSI AU DESSUS DE LUI UN PLAFOND QU IL CONSIDERE COMME L ABSOLU DE SOI MEME-s

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Chacun a ainsi au-dessus de lui un plafond qu’il considère comme l’absolu de soi-même.

SAPHO – Alphonse Daudet – 01

« Une actrice, sans doute. Il en venait beaucoup chez Déchelette ; et cette pensée n’était pas pour le mettre à l’aise, ce genre de personnes lui faisant très peur…

ELLE LUI PARLAIT DE TOUT PRES UN COUDE AU GENOU LA TETE APPUYEE SUR LA MAIN AVEC UNE DOUCEUR GRAVE UN PEU LASSE-let

 » – Du Midi vraiment ?… Et des cheveux de ce blond-là !… Voilà une chose extraordinaire. « 

Extrait du roman « Sapho »

de  Alphonse Daudet

Parcours de lecture

ELLE LUI PARLAIT DE TOUT PRES UN COUDE AU GENOU LA TETE APPUYEE SUR LA MAIN AVEC UNE DOUCEUR GRAVE UN PEU LASSE-s

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Elle lui parlait de tout près, un coude au genou, la tête appuyée sur la main, avec une douceur grave, un peu lasse…