L’ALCHIMISTE – PAOLO COELHO – 01

 TOUT CE QUE NOUS CRAIGNONS C EST DE PERDRE CE QUE NOUS POSSEDONS QU IL S AGISSE DE NOTRE VIE OU DE NOS CULTURES-let

                                                             …Mais cette crainte cesse lorsque nous comprenons que notre histoire et l’histoire du monde ont été écrites par la même Main. »

Extrait choisi par Spania
dans le roman « L’alchimiste »
de Paulo Coelho

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Parcours de lecture

TOUT CE QUE NOUS CRAIGNONS C EST DE PERDRE CE QUE NOUS POSSEDONS QU IL S AGISSE DE NOTRE VIE OU DE NOS CULTURES-s

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Tout ce que nous craignons, c’est de perdre ce que nous possédons, qu’il s’agisse de notre vie ou de nos cultures.
Mais cette crainte cesse lorsque nous comprenons que notre histoire et l’histoire du monde ont été écrites par la même Main.

UN SOIR (Les nuits de Malmont ) – ANDRÉ DHÔTEL – 06

« Les gens lui disaient, les siens lui disaient …

SOIT IL TE FALLAIT LA FILLE AU MOINS FILEZ  ALLEZ HABITER LE PLUS LOIN POSSIBLE NE RESTEZ PAS DANS CET ENFER-let                                                                       … mais les nuits de Malmont …« 

Extrait de la nouvelle « Les nuits de Malmont »
de André Dhotel
(du recueil de Un soir  )

Parcours de lecture

SOIT IL TE FALLAIT LA FILLE AU MOINS FILEZ  ALLEZ HABITER LE PLUS LOIN POSSIBLE NE RESTEZ PAS DANS CET ENFER-s

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Soit ! Il te fallait la fille.
Au moins, filez !
Allez habiter le plus loin possible.
Ne restez pas dans cet enfer !

LA GRANDE BEUVERIE – RENÉ DAUMAL – 07

« J’étais désarçonné de mon corps et, aplati dans la poussière, je regardais d’en bas ma pauvre monture qui ne savait comment se tenir

 LE VIEUX RIGOLAIT JE L AURAIS BIEN GIFLE MAIS C'EST MOI QUI AURAIS RECU MES PROPRES GIFLES-let

                                                             …Il me laissa dans cet état pendant une minute. Enfin il alla chercher une couverture dans un coin, l’étendit à terre et me dit :
– Tu as trop bu. Couche-toi là-dessus, repose ta carcasse et réfléchis. »

Extrait de  « La grande beuverie »
de René Daumal

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Parcours de lecture
LE VIEUX RIGOLAIT JE L AURAIS BIEN GIFLE MAIS C'EST MOI QUI AURAIS RECU MES PROPRES GIFLES-s

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Le vieux rigolait. Je l’aurais bien giflé. Mais c’est moi qui aurais reçu mes propres gifles.

MEURTRES DANS LES BARONNIES – LE MANUSCRIT DE SAINTE-JALLE – BOUCHET GERARD – 01

« Juliette vit un moment d’émotion d’une intensité sans pareille. Elle se dit qu’aucun homme n’aurait jamais pu lui en donner de tel …

C EST DANS CE GENRE DE MOMENT LA QU ELLE REGRETTE MOINS QUE JAMAIS SON CELIBAT-let

                                                                      … Dès son retour à Valence, elle s’attellera, toutes affaires cessantes, à la traduction du document d’accompagnement. »

Extrait du roman
«Meurtres dans les Baronnies – Le manuscrit de Sainte-Jalle»

de  Gérard Bouchet

Parcours de lecture

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C’est dans ce genre de moment là qu’elle regrette, moins que jamais, son célibat.

IL FAUDRA BIEN TE COUVRIR – HOWARD BUTEN – 01

IL AVAIT L AIR D UNE BOUGIE DEBOUT SUR L AILE DE L AVION AVEC SES CHEVEUX QUE LE VENT SOULEVAIT ET SON LONG MANTEAU-let

  Extrait du roman «Il faudra bien te couvrir »

de Howard Buten

Parcours de lecture

IL AVAIT L AIR D UNE BOUGIE DEBOUT SUR L AILE DE L AVION AVEC SES CHEVEUX QUE LE VENT SOULEVAIT ET SON LONG MANTEAU-s

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Il avait l’air d’une bougie, debout sur l’aile de l’avion, avec ses cheveux que le vent soulevait et son long manteau.

LA CEINTURE – AHMED ABODEHMAN – 01

« Toute activité au village avait son chant spécifique.
Personne ne faisait rien sans chanter.
On chantait pour tout – comme si rien ne pouvait vivre, pousser ou se faire, sans poèmes.  …

NOUS CHANTIONS POUR QUE LA VIE DANSE CE QU ELLE FAISAIT SOUVENT-let

Citation de Piatka sur babelio

  Extraite du roman « La Ceinture »

de Ahmed Abodehman

Parcours de lecture

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Lecture


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Toute activité au village avait son chant spécifique. Personne ne faisait rien sans chanter. On chantait pour tout – comme si rien ne pouvait vivre, pousser ou se faire, sans poèmes. Nous chantions pour que la vie danse, ce qu’elle faisait souvent.

LE PEDAGOGUE N’AIME PAS LES ENFANTS – HENRI ROORDA – 01

« Les écoles actuelles peuvent donc compter sur l’approbation de beaucoup de personnes raisonnables.

Elles peuvent compter aussi sur l’adhésion muette et distraite de nombreux citoyens qui ont à résoudre des questions plus pressantes ou plus attrayantes que le problème de l’enseignement public.…

LA PLUPART DES HOMMES S INTERESSENT PEU A CE QUI SE PASSE DANS LE COIN DES ENFANTS-let

…N’y a-t-il pas quelque chose de rassurant, d’ailleurs, dans l’admirable ponctualité avec laquelle, chaque jour, aux mêmes heures, maîtres et élèves reprennent leur besogne ?

Tout se passe normalement.»

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Extrait de l’oeuvre  « Le Pédagogue n’aime pas les enfants »

de Henri Roorda

Parcours de lecture

LA PLUPART DES HOMMES S INTERESSENT PEU A CE QUI SE PASSE DANS LE COIN DES ENFANTS-s

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Non seulement les écoliers supportent le régime auquel ils sont soumis, mais, s’ils en souffrent, c’est d’une manière bien peu apparente.
Le bien qu’on leur fait est moins hypothétique. On leur apprend à lire, à écrire et à compter. Ils acquièrent, en outre, dans leurs leçons, des notions variées, susceptibles d’émerveiller les gens simples.

D’autre part, l’École décharge les parents, cinq, six ou sept heures par jour, du soin de surveiller leur progéniture. Elle donne des certificats flatteurs aux élèves studieux. Enfin, elle délivre aux jeunes gens le diplôme qui leur permettra de faire l’apprentissage de quelque profession plus ou moins lucrative. Pour exiger d’elle davantage, ne faut-il pas accorder aux choses de l’esprit une importance excessive ?

Les écoles actuelles peuvent donc compter sur l’approbation de beaucoup de personnes raisonnables.

Elles peuvent compter aussi sur l’adhésion muette et distraite de nombreux citoyens qui ont à résoudre des questions plus pressantes ou plus attrayantes que le problème de l’enseignement public.

Car la plupart des hommes s’intéressent peu à ce qui se passe dans le coin des enfants.

N’y a-t-il pas quelque chose de rassurant, d’ailleurs, dans l’admirable ponctualité avec laquelle, chaque jour, aux mêmes heures, maîtres et élèves reprennent leur besogne ? Tout se passe normalement. Et de même qu’on remet ses lettres aux employés de la poste, il est conforme à l’usage de confier ses enfants aux spécialistes de la pédagogie.

LA GRANDE IMPLOSION – RAPPORT SUR L’EFFONDREMENT DE L’OCCIDENT – PIERRE THUILLIER – 02

Certaines lectures méritent qu’on ralentisse le pas


« Quelques poètes, au sein même de l’Occident, avaient formulé des diagnostics aussi lucides que précis.
Leur témoignage confirmait une idée dont plusieurs d’entre nous avaient pressenti l’importance : …

C ETAIT PARCE QU IL AVAIT FINI PAR PERDRE TOUT SENS POETIQUE-let

 Extrait de l’essai  « La grande implosion »

de Pierre Thuillier

Parcours de lecture

C ETAIT PARCE QU IL AVAIT FINI PAR PERDRE TOUT SENS POETIQUE-s

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« Si l’occident s’était effrité, s’il s’était culturellement décomposé, c’était parce qu’il avait fini par perdre tout sens poétique. »

LA VIE DEVANT SOI – ROMAIN GARY – 01

« Au début, je ne savais pas que Madame Rosa s’occupait de moi seulement pour toucher un mandat à la fin du mois. Quand je l’ai appris, j’avais déjà six ou sept ans et ça m’a fait un coup de savoir que j’étais payé.…

JE CROYAIS QUE MADAME ROSA M AIMAIT POUR RIEN ET QU ON ETAIT QUELQU'UN L UN POUR L AUTRE-let

J’en ai pleuré toute une nuit et c’était mon premier grand chagrin.»

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Citation proposée sur babelio par noor

Extrait du roman « La Vie devant soi»
de Romain Gary

Parcours de lecture

JE CROYAIS QUE MADAME ROSA M AIMAIT POUR RIEN ET QU ON ETAIT QUELQU'UN L UN POUR L AUTRE-s

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Au début, je ne savais pas que Madame Rosa s’occupait de moi seulement pour toucher un mandat à la fin du mois. Quand je l’ai appris, j’avais déjà six ou sept ans et ça m’a fait un coup de savoir que j’étais payé.

Je croyais que Madame Rosa m’aimait pour rien et qu’on était quelqu’un l’un pour l’autre.

J’en ai pleuré toute une nuit et c’était mon premier grand chagrin.