LA PROMESSE DE L’AUBE – ROMAIN GARY – 01

« J’ai toujours eu, depuis, l’impression de comprendre les bêtes …»

LORSQUE DANS LA NUIT AFRICAINE J ENTENDAIS LES VOIX DES ANIMAUX SOUVENT MON COEUR SE SERRAIT-let

…quand j’y reconnaissais celles de la douleur, de la terreur, du déchirement»

Citation proposée sur babelio par madamelafee

Extrait du roman « La Promesse de l’aube»
de Romain Gary

Parcours de lecture

LORSQUE DANS LA NUIT AFRICAINE J ENTENDAIS LES VOIX DES ANIMAUX SOUVENT MON COEUR SE SERRAIT-s

En clair

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Je suis incapable de transcrire ici ce que nous nous sommes dit. Ce fut une série de cris, de mots, de sanglots, cela ne relevait pas du langage articulé. J’ai toujours eu, depuis, l’impression de comprendre les bêtes. Lorsque, dans la nuit africaine j’entendais les voix des animaux, souvent mon cœur se serrait quand j’y reconnaissais celles de la douleur, de la terreur, du déchirement et, depuis cette conversation téléphonique, dans toutes les forêts du monde, j’ai toujours su reconnaître la voix de la femelle qui a perdu son petit.