En ces temps, brouillés, certains d’entre nous ressentent, un manque, parfois difficile à identifier, tant il recouvre un grand nombre d’éléments du quotidien qui ont disparu … momentanément.
Parmi eux, il en est peut-être qui perçoivent clairement l’absence d’un ami muet, notre grand jardin …
Celui pour lequel Georges Moustaki a écrit :
« Il y avait un jardin qu’on appelait la terre.
Il était assez grand pour des milliers d’enfants
…
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nostalgie maladroite d’un promeneur
pour le jardin
et son poète disparu il y a sept ans … déjà. :