Ce titre est celui d’une chronique, dans la rubrique poésie de la (Nouvelle) Quinzaine littéraire (1148), que Sabine Huynh donne du recueil « Par dessus l’épaule de Blaise Pascal » de Pierrick de Chermont (éditions de Corlevour)
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Par-dessus l’épaule de Blaise Pascal consiste en un partage des réflexions,des idées et des observations subtiles et claires d’un poète qui sait ce qu’être dans le monde signifie, et dont les paroles constituent de page en page l’empreinte et le chemin visibles d’un engagement ferme, sans pourtant être dogmatique, puisque le questionnement et l’étonnement y sont constants. Et c’est ce questionnement qui fait frémir les vers, et les lecteurs, et nous rappelle qu’il est constitutif de la vie.
Par-dessus l’épaule de Blaise Pascal est donc un recueil de poème philosophiques, qui n’est sans nous rappeler Feuilles d’herbe de Walt Whitmann, par sa sensibilité, son insistante recherche de la joie profonde que procure une légèreté non pas ancrée dans l’insouciance et la frivolité mais dans la grâce, et par son choix de livrer la parole sous la forme de versets, qui révèle que les saintes Écritures et l’émancipation des codes poétiques sont tout aussi importantes pour Pierrick de Chermont, un poète qui s’épanoui dans la marginalité de ceux qui ont le sens du sacré.
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