Anna Jouy
Prendre garde Le chant sape des lucarnes dans – Anna Jouy
Ce texte d’Anna Jouy,
ma pensée myope
n’en a
dans un premier temps
saisit
que peu
mais ce peu
m’a traversé le présent.
— Je lui demande de m’en excuser
–
La poésie de Anna Jouy
est ici
demain je nettoie le ciel … – Anna Jouy
Sur son blog des MOTS SOUS L’AUBE (Journal poétique)Anna Jouy à déposé
dans sa rubrique » poèmes »
» demain je nettoie le ciel j’ai vu qu’il y… «
Extrait
Le texte entier chez Anna Jouy
[Anna Jouy … le soleil … les passages ]
Lire ses textes déposés chez les cosaques des frontières de JAN DOETS
demain je nettoie le ciel
j’ai vu qu’il y restait des traces de pas
le chemin oublié d’un pèlerin de poussière
j’ai dans l’idée que le dernier invité de la mort avait les pieds mouillés et une semelle de terre
mais pour affiner l’au-delà j’ai besoin d’un escabeau
à la cueillette des blanches éponges
Je viens d’une enfance de blé, de chevaux, une… – Anna Jouy
Sur son blog des MOTS SOUS L’AUBE (Journal poétique) Anna Jouy à déposé
dans sa rubrique « poèmes«
« Je viens d’une enfance de blé, de chevaux, une…«
Extrait … (propice à une lecture lente qui ne brûle pas les mots avant qu’ils aient donné leur pulpe)
(cliquer sur le texte pour le parcours de lecture)
Le texte entier chez Anna Jouy
[Texte qui par sa (dé)construction recrée chez le lecteur (que j’ai été à plusieurs reprises) un climat, une eau, un inconfort paisible, proche de celui dans lequel vit l’enfant (? … a vécu l’enfant qui m’a fait le grand prêt)]
Lire ses textes déposés chez les cosaques des frontières de JAN DOETS
Je viens d’une enfance de blé, de chevaux, une enfance silencieuse à peine perforée de sabots. Quand je veux te parler, je fouille dans mon tiroir, le manuscrit des murmures.
J’aimerais que tu savoures mes images, un croquet ancien.
Mais tu ne saisis plus cette minceur de la voix, tu ignores ces jours d’abeilles et de larves, tu ne sais pas de quand je parle.
Alors mon poème assis dans le pré, ses chaussettes blanches tricotées de nuages faisant craquer les brindilles. Alors mon poème de résine, d’épines broyées.
Alors mon poème libre et silencieux,
Tu ne le comprends pas, des pas dissipés, un mirage, une langue étrangère.
Je suis un poète mort de sens.
Le lac entre … – Anna Jouy
Anna à récemment repris l’écriture sur son blog foisonnant des MOTS SOUS L’AUBE (Journal poétique)
Elle publie dans « Livre des suites »
« le lac entre dans la chambre l’ amant sans… »
Extrait à lire … lentement
(cliquer sur le texte pour le parcours de lecture)
Le texte entier chez Anna Jouy
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lente venue d’une veine bleue dans mon ventre, flots de mer, flots de ciels.
L’hôpital 5 – Anna Jouy
Amazone des cosaques des frontières qu’héberge en ses terres JAN DOETS*
Anna Jouy écrit … depuis sa chambre d’hôpital.
Elle y dit, avec humour et pourtant tout le poids du lieu, du temps … et du reste.
« Dring. Voici le paralytique, sautant et galopant entre les chaises du salon, voici le rire d’une joie de bonbon rigolette, voici un teint jaune et cireux, passant au rose. Un coup de sonnette encore, la fenêtre s’ouvre, la chambre s’aère. Le plateau repas entre, il sort. L’eau du bain clapote dans la vasque. Un coup de sonnette, vous êtes sur le pot, le suivant on vous lange, vous talque, vous crème les omoplates.
…
Elle pendouille au-dessus de ma tronche comme une fleur du bonheur assortie d’une veilleuse angélique. »
[*Qui nous rassure sur la santé d’Anna ici]
Lire le texte sur le site des cosaques des frontières
L’hôpital 4 – Anna Jouy
Suite des « aventures » d’Anna Jouy
déposées en les territoires accueillants de JAN DOETS
Elle évoque ici « l’heure de la douche. »
« Voici l’heure de la douche. Une seule heure pour cinq douches et un nid d’une centaine d’estropiés de l’hygiène en sus,…
…
Je suis …
…
…
Après, dans mon radeau-lit, je … »
(solution)
Lire le texte sur le site des cosaques des frontières