RÉSONANCES [une image – un texte] Louise Imagine – Bernard Vassel

[Jacques Flament Editions
ont publié « RÉSONANCES »

149 textes cheminent
à travers
25 images photographiques]


Photo de Louise Imagine
texte de Bernard Vassel
(extrait de « Ondulations quadrillés du temps« )

Tu n'es pas une libellule ni une araignée-letex-

(ou)

[lecture]


Tu n’es pas une libellule ni une araignée, tu es l’insouciance de l’enfance.
Tu es une petite fille qui avance sur le tapis grillagé de la vie.

 

 

 

 

 

 

RÉSONANCES – Parution chez Jacques Flamant Editions

Images et Textes
Un recueil dont les droits d’auteurs iront à l’association MOTS ET MERVEILLES
(Lutte contre l’illettrisme.)

 

A travers les portes qu’ouvrent 25 photographies (issues des collections de l’éditeur)
149 textes s’échappent en toutes directions.

CHEZ JACQUES FLAMAND-letex2

 

(Lire sans effort)


(La couverture originale)

Le recueil … ici

Tu amarres les vagues -Sabine Huynh (Mots) Louise Imagine (Photographies) – 2

« Tu amarres les vagues est un livre qui se lit doucement.
Si seulement on accepte son invitation et si on y pense un moment, la douceur est une des choses les plus précieuses au monde.
Il y a une façon de parler de l’enfance, et du lien à son enfant qui est

Ce regard sur l’amour est en chacun de nous, dans l’enfant que nous avons été, dans

Sabine Huynh a inventé des mots pour répondre aux éclats colorés de bonheur des photos de Louise Imagine : il y a cette pure merveille d’écla-rire. « 

(Extrait de la présentation de Isabelle Pariente-Butterlin )

 



TU ES NÉE ET J AI COMMENCÉ - letcr1-exp

 Extrait d’un des poèmes de Sabine Huynh  recueil
« Tu amarres les vagues »
avec en fond la photographie correspondante
de Louise Imagine

 (Publié aux éditions Jacques Flament Editions  voir ici)


Parcours de lecture
UN OVNI D AUJOURD HUI ET DEMAIN - SR

En clair

TU ES NÉE ET J AI COMMENCÉ - txt0r

Le poème en son entier
TU ES NÉE ET J AI COMMENCÉ - txt1r

 

Proposition de lecture du poème


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Pourquoi toujours ma voix se brise avec ces mots
n’oublie pas de lui dire combien je l’aime

une voix de coquillage
malmenée par les vives-eaux

Au cœur des turbulences
par-dessus les marées je t’ai appelée

tu es née et j’ai commencé
à sentir la finitude l’inquiéter
jour et nuit