« Et le facteur ne monte plus.
Sauf, parfois, à la fin du mois, quand les billets qu’on a souscrits chez le notaire tombent à échéance.
Autant dire qu’on ne le désire pas. …
… Personne ne contredit.
On préfère le vent qui vient du désert de Lure, qui coupe comme un rasoir, mais qui chasse les pies et indique, à ceux qui savent, le gîte caché des lièvres. »
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Et le facteur ne monte plus.
Sauf, parfois, à la fin du mois, quand les billets qu’on a souscrits chez le notaire tombent à échéance.
Autant dire qu’on ne le désire pas.
Ce qui vient de la ville est mauvais : le vent de la pluie et le facteur.
Personne ne contredit.
On préfère le vent qui vient du désert de Lure, qui coupe comme un rasoir, mais qui chasse les pies et indique, à ceux qui savent, le gîte caché des lièvres.