PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 11

PLANÈTE POLLUÉE – Paul BERA – 01
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BERA – 02
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BERA – 03
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BERA – 04
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 05
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 06
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 07
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 08
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 09
PLANÈTE POLLUÉE – Paul BÈRA – 10


Planète polluée - couverture[Il y a près de 50 ans, Paul Bera écrivait dans la collection fleuve noir (troisième version de la couverture N°623) un roman d’anticipation qui évoquait déjà les problèmes dans lesquels (une partie de) l’humanité se débat, en rapport avec la pollution croissante de l’environnement de la vie actuelle (plantes, animaux, dont l’homme) ]

Kim la belle habitante du Terrier K, va apprendre à Jak ce qu’est un mutant, espèce issue de l’humain à laquelle il appartient.
Et pour cela, elle va devoir lui expliquer ce qu’était la Terre avant que les hommes ne puissent plus vivre à sa surface.
Jak y retrouvera beaucoup d’éléments en rapport avec les « Légendes » qui se transmettent chez ceux des Clans … les mutants.


— Sais-tu ce qu’est l’oxygène ?

— Non.

— Le gaz carbonique ? L’oxyde de carbone ?

— Non.

De nouveau, elle soupira :

— Ça va être difficile à t’expliquer… Mais, en gros…
Elle me croyait plus stupide que je ne l’étais ! Bien sûr, de temps en temps, elle prononçait des mots dont je ne comprenais pas le sens et je devais lui demander ce qu’ils signifiaient. Ainsi « usine », ou « réacteur » et tant d’autres.

Mais j’obtins enfin une idée assez précise de ce qui s’était produit. Nos ancêtres s’étaient détruits eux-mêmes… pas volontairement, bien sûr… et encore ! Et encore, ne pourrait-on pas considérer cela comme un suicide ? Si je grimpe sur un arbre très haut et que …

20 - JE CONSTATE-le

(Ou plus facile)

*

Et, à mon avis, c’était ce qu’ils avaient fait : ils s’étaient suicidés.

 

Les progrès de la technique les avaient conduits à édifier de plus en plus « d’usines ». Il me fallut d’ailleurs un certain temps pour admettre que nos ancêtres travaillaient en groupe, chacun à une besogne bien définie et fastidieuse. Comment avaient-ils eu le courage de répéter les mêmes gestes pendant des années ? …

21 - MOI , J’ ÉTAIS LAS-le(Ou … plus facile)

*

Je crois que, au fond, nos ancêtres manquaient d’imagination.

Donc, des « usines » qui fabriquaient des produits de consommation pour des milliards d’habitants. Kim, habilement, me fit « toucher du doigt » ce que ça pouvait représenter, « des milliards »… Affolant.

Ces « usines » ne pouvaient fabriquer ces produits qu’en rejetant des résidus, des déchets. Au début, elles s’en débarrassaient dans les fleuves (pour les résidus liquides) et dans l’atmosphère (pour les résidus gazeux). Vint le moment où l’on commença à admettre que cela ne pouvait plus durer. L’eau était « polluée », l’air l’était aussi. À faible dose, bien sûr ! Mais il convenait de commencer à lutter.

Lutter ? Comment ? On tenta d’épurer ces résidus. Besogne de titans, à laquelle on aurait trouvé une solution si…

Si, sur ces entrefaites, n’avait pas éclaté une nouvelle « guerre ». Explication de …

22 - LA « GUERRE » - le(Ou … plus facile)

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s