Le mont analogue – René Daumal (simpliste) – 22

(traduit du bulgare par le traducteur du « Coeur Cerf »)

Le Mont Analogue fut commencé par René Daumal en juillet 1939 lors de son séjour à Pelvoux dans les Alpes et à un moment particulièrement tragique de son existence. Il venait d'apprendre – à trente et un ans – qu'il était perdu : tuberculeux depuis une dizaine d'années, sa maladie ne pouvait avoir qu'une issue fatale. Trois chapitres étaient achevés en juin 1940 quand Daumal quitta Paris à cause de l'occupation allemande, sa femme, Vera Milanova, étant israélite. Après trois ans passés entre les Pyrénées (Gavarnie), les environs de Marseille (Allauch) et les Alpes (Passy, Pelvoux), dans des conditions très difficiles sur tous les plans, Daumal connut enfin, au cours de l'été 1943, un moment de répit et espéra pouvoir finir son « roman ». Il se remit au travail, mais une dramatique aggravation de sa maladie l'empêcha de terminer la relation de son voyage « symboliquement authentique ». Il mourut à Paris le 21 mai 1944. ? 
(extrait le avant-propos de l'éditeur)

22-Le mont analogue-UNE LONGUE ATTENTE-IMA

Retour à nos aventuriers … Réflexion de l’auteur à propos de leur découverte, après un certain temps d’attente infructueuse, du passage vers l’objet de leur quête.

22-Le mont analogue-UNE LONGUE ATTENTE-LET


[Note] C’est aussi un aphorisme valable pour les visiteurs de ce lieu …
(
un voyage, associant douleur et amitié, m’éloigne pour quelques jours)


ATTENTE HABITUDE = DÉBUT ETAIT HANTÉ

3 commentaires sur “Le mont analogue – René Daumal (simpliste) – 22

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