« Je n’ai jamais interdit à un élève
de regarder par la fenêtre.»
…
disait André Dhôtel à propos de
cette ultime forme de l’école buissonnière
qui est encore possible (?) de nos jours.
C’est ce que le Livre permet depuis toujours
fenêtre ouverte sur
ce qui buissonne à deux pas de nous.
Dernière page du livre
Il est temps
pour un personnage que l’on a jusqu’alors
jamais entendu
de donner
…
le ton général
de ce roman.
« – Ce n’est pas tout, clamait aussi M. Charles Fontarelle lorsqu’il s’adressait au public varié des villes en alignant des cravates sur ses avant-bras. Ce n’est pas tout, car il faut enchaîner avec la vie. Ne m’achetez pas une cravate, mais dix cravates, mais vingt cravates, et vous serez toujours sûr d’avoir une cravate à votre goût, même si vous avez choisi en dépit du bon sens. Et surtout, ajoutez à votre collection, pour le prix dérisoire et supplémentaire de soixante-quatorze francs, cette cravate lumineuse, étincelante et phosphorescente »…
qui est la découverte du siècle, et où vous pouvez voir le soleil au milieu de la nuit et les étoiles en plein jour. »
____________
Dans cette phrase de bateleur, on peut retrouver
un peu de ce qui sous tend ce conte pour enfant
et adulte
ce merveilleux quotidien
qui émerge des espaces que nous acceptons (?)
de laisser en friche
c’est à dire
de laisser au hasard.