« Je n’ai jamais interdit à un élève
de regarder par la fenêtre.»
…
disait André Dhôtel à propos de
cette ultime forme de l’école buissonnière
qui est encore possible (?) de nos jours.
C’est ce que le Livre permet depuis toujours
fenêtre ouverte sur
ce qui buissonne à deux pas de nous.
Douzième page,
Remue ménage général
dans l’hôtel de la tante.
Gaspard se voit confier une tâche
un peu plus noble que d’ordinaire.
« Fernande, allez préparer le numéro 25.
– Le numéro 25? Mademoiselle n’y songe pas, répondit Fernande. Voici deux ans que personne n’y a mis les pieds.
– Je vous apprendrai à discuter mes ordres, dit Gabrielle Berlicaut. Laissez votre omelette et faites ce qu’on vous demande.
– Mais qui servira dans la salle? reprit Fernande.
– Gaspard servira, trancha Gabrielle Berlicaut.
Cette dernière parole eut un effet prodigieux. La servante se leva avec une hâte soudaine. Elle disparut dans l’escalier en s’essuyant la bouche du revers de sa manche […]
– Le numéro 25, ne put s’empêcher de dire le commis.
[…]
Le numéro 25 désignait une mansarde qui ne possédait qu’une ouverture en tabatière et ».…