La poésie d’André Dhôtel dans la nouvelle « INTERMÈDE » (NRF 1 mai 1942) -(02)

(… un enfant)

En se réveillant
il pleura
mais

sans faire absolument aucun bruit
parce qu’il ne voulait pas même
qu’une bête sauvage
apprit son chagrin.

C’était une douleur exceptionnelle
puisqu’il était tout à fait sûr
de jamais sortir des bois

2 commentaires sur “La poésie d’André Dhôtel dans la nouvelle « INTERMÈDE » (NRF 1 mai 1942) -(02)

  1. Dhôtel serait venu faire des lectures dans la maison qui est la mienne maintenant.

    Une belle fin de journée à toi, Aunryz.

    PS. Ceci-dit, je trouve que « Le Pays où l’on n’arrive jamais » est à peine lisible à mes neurones.

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  2. Rimbaud, Daumal, Dhôtel
    trois de Charleville
    incompréhensibles

    « Un soir, il s’était assis devant la porte sur une pierre pour manger son pain, et il a écrit dans la poussière : “ Je cherche mon pays. ” Je n’ai pas compris ce qu’il voulait signifier, Gaspard, si tu le vois à Anvers, tu me donneras des nouvelles de lui.  »

    Le pays …

    (sourire

    ___
    Merci de ton passage
    et de ta parole claire

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