« Je n’ai jamais interdit à un élève
de regarder par la fenêtre. »
…
disait André Dhôtel à propos de
cette ultime forme de l’école buissonnière
qui est encore possible (?) à l’époque moderne.
C’est ce que le Livre permet
fenêtre ouverte sur
ce qui buissonne à deux pas de nous.
Septième page,
Jamais responsable
mais toujours au coeur d’un nouveau désastre
On se méfie de Gaspard
comme d’un
« porte-malheur ».
« Gaspard fut entouré d’une méfiance toujours plus grande. Sans cesse on l’avait à l’oeil , et il ne connût guère en somme ce qu’il y a de meilleur dans le vie de l’enfance et dans toute sa vie, le plaisir de parler à coeur ouvert et d’entendre parler à coeur ouvert. Ses parents le jugeaient parfaitement comblé et ne se souciaient pas, dans leurs courts séjours, des erreurs qu’on lui reprochait. C’était comme si le monde se cachait à ses yeux. En classe, Gaspard était rarement interrogé. .…


…Il eut de plus en plus l’assurance que rien ne le concernait et que toutes ses démarches seraient à jamais déplacées. »