CLAUDIA PATUZZI – UNE MER DÉRANGÉE –




« Le cousin découvrit ses dents avant de lui murmurer à l’oreille, d’un air très sérieux : 
JE SUIS UN SERPENT - letc11Extrait de « Une mer dérangée »

de Claudia Patuzzi

parcours de lecture

JE SUIS UN SERPENT - s

Le chapitre d’où provient l’extrait
« Je t’attends depuis longtemps »

En clair

JE SUIS UN SERPENT - txt0


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Le cousin découvrit ses dents avant de lui murmurer à l’oreille, d’un air très sérieux :
                             — je suis un serpent qui mord les gens qui passent.

MAMAN A TORT – MICHEL BUSSI – 1





(un « spécial Christophe »)
TU VOIS MEME - let1t

Lecture plus lente

TU VOIS MEME - let1

Extrait du récit, essais :
 » Maman a tort  »
de Michel Bussi

Parcours de lecture
TU VOIS MEME - s
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TU VOIS MEME - txt0

 L’extrait complet

TU VOIS MEME - txt11

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Tu vois, même si les gens qui paraissent gentils ne le sont pas toujours, dans le doute, choisis toujours la gentillesse ! C’est le pari le plus raisonnable. Je me doute que tu ne comprends pas tous les mots que je prononce. Certains sont compliqués, mais à force de les répéter, tu finiras par les retenir.
Malgré les méchants, la gentillesse est le pari le plus raisonnable. C’est toujours elle qui gagne à la fin.

RIEN QUE LA VIE – ALICE MURNO – 1





LES GENS - letc1

Lecture plus lente

LES GENS - let1

Extrait du récit, essais :
 » Rien que la vie  »
de Alice Munro

Parcours de lecture
LES GENS - s
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Les gens qui l’avaient construit avaient fait de leur mieux mais, ce mieux n’étant pas suffisant, le pont s’était écroulé.

beloumbeloum* – contes de l’équateur – JAN DOETS -2

beloum beloum - contes de l'équateur - couvertureJan Doets de son territoire où il abrite les cosaques des frontières, évoque les terres qu’il connait bien pour y avoir vécu, et leurs habitants dont il a reçu une part de la mémoire en partage.
L’oeuvre est disponible aux éditions QazaQ  ici

*beloumbeloum délicieux pluriel (peut-on être moins numérique ?) de beloum



LES GENS -letcd1 

                         —                            

Extrait du recueil
«beloumbeloum – contes de l’équateur »
de Jan Doets

Itinéraire de lecture

LES GENS -s

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Les gens dans les cabanes et les petites maisons en bois sur pilotis sont des sages, des rêveurs, des penseurs.

L’AFFAIRE CHARLES DEXTER WARD – HOWARD PHILIPPS LOVECRAFT – 1 –

« Les médecins s’avouent complètement déconcertés par son cas, car il présentait des bizarreries physiques autant que psychologiques.
En premier lieu, le malade paraissait beaucoup plus vieux qu’il ne l’était. À vrai dire, les troubles mentaux vieillissent très vite ceux qui en sont victimes, mais …

LE VISAGE DE CE JEUNE HOMME DE VINGT SIX ANS AVAIT PRIS UNE EXPRESSION SUBTILE QUE SEULS POSSEDENT LES GENS TRES AGES-let                                                               …  En second lieu, ses fonctions organiques montraient
un curieux désordre.
« 

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Extrait du roman « L’affaire Charles Dexter Ward »
de Howard Phillips Lovecraft

parcours de lecture

LE VISAGE DE CE JEUNE HOMME DE VINGT SIX ANS AVAIT PRIS UNE EXPRESSION SUBTILE QUE SEULS POSSEDENT LES GENS TRES AGES-s

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LE VISAGE DE CE JEUNE HOMME DE VINGT SIX ANS AVAIT PRIS UNE EXPRESSION SUBTILE QUE SEULS POSSEDENT LES GENS TRES AGES-txt

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Un extrait plus long qui contient cette citation

LE VISAGE DE CE JEUNE HOMME DE VINGT SIX ANS AVAIT PRIS UNE EXPRESSION SUBTILE QUE SEULS POSSEDENT LES GENS TRES AGES-txt2

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Un personnage fort étrange, nommé Charles Dexter Ward, a disparu récemment d’une maison de santé, près de Providence, Rhode Island. Il avait été interné à contrecœur par un père accablé de chagrin, qui avait vu son aberration passer de la simple excentricité à une noire folie présentant à la fois la possibilité de tendances meurtrières et une curieuse modification du contenu de son esprit. Les médecins s’avouent complètement déconcertés par son cas, car il présentait des bizarreries physiques autant que psychologiques.
En premier lieu, le malade paraissait beaucoup plus vieux qu’il ne l’était. À vrai dire, les troubles mentaux vieillissent très vite ceux qui en sont victimes, mais le visage de ce jeune homme de vingt-six ans avait pris une expression subtile que seuls possèdent les gens très âgés. En second lieu, ses fonctions organiques montraient un curieux désordre. Il n’y avait aucune symétrie entre sa respiration et les battements de son cœur ; sa voix était devenue un murmure à peine perceptible ; il lui fallait un temps incroyablement long pour digérer ; ses réactions nervales aux stimulants habituels n’avaient aucun rapport avec toutes celles, pathologiques ou normales, que la médecine pouvait connaître. La peau était sèche et froide ; sa structure cellulaire semblait exagérément grossière et lâche. Une grosse tache de naissance, en forme d’olive, avait disparu de sa hanche gauche, tandis qu’apparaissait sur sa poitrine un signe noir très étrange qui n’existait pas auparavant. Tous les médecins s’accordent à dire que le métabolisme du sujet avait été retardé d’une façon extraordinaire.
Sur le plan psychologique également, Charles Ward était unique. Sa folie n’avait rien de commun avec aucune espèce de démence consignée dans les traités les plus récents et les plus complets ; elle semblait être une force mentale qui aurait fait de lui un génie ou un chef si elle n’eût été bizarrement déformée. Le Dr Willett, médecin de la famille Ward, affirme que les facultés mentales du malade, si on les mesurait par ses réactions à tous les sujets autres que celui de sa démence, s’étaient bel et bien accrues depuis le début de sa maladie. Le jeune Ward avait toujours été un savant et un archéologue ; mais même ses travaux les plus brillants ne révélaient pas la prodigieuse intelligence qu’il manifesta au cours de son examen par les aliénistes. En fait, son esprit semblait si lucide et si puissant qu’on eut beaucoup de peine à obtenir l’autorisation légale de l’interner ; il fallut, pour emporter la décision, les témoignages de plusieurs personnes et la constatation de lacunes anormales dans les connaissances du patient, en dehors de son intelligence proprement dite. Jusqu’au moment de sa disparition, il se montra lecteur omnivore et aussi brillant causeur que le lui permettait sa faible voix. Des observateurs expérimentés, ne pouvant prévoir sa fuite, prédirent qu’il ne manquerait pas d’être bientôt rendu à la liberté.

FRAGMENTS D’UN ENSEIGNEMENT INCONNU – P.D. OUSPENSKY – 02

LE SAVOIR EST UNE CHOSE -let

Extrait de la nouvelle « Fragments d’un enseignement inconnu »
de  P.D. Ouspensky

Parcours de lecture

LE SAVOIR EST UNE CHOSE -s

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LE SAVOIR EST UNE CHOSE -txt


L’échec de l’industrialisation de l’enseignement est en rapport avec cette confusion. Un savoir qui n’est pas en connexion avec l’expérience physique et émotionnelle de la personne, n’est pas compréhension. Il est alors inutile, voir même toxique. En effet il suscite des « productions » purement intellectuelles (on pourra dire abstraites*) qui peuvent être tout à fait en désaccord avec la réalité. Dans cette catégorie on peut ranger toutes les décisions désastreuses qui ne sont que la mise en acte de savoir sans compréhension.

*L’abstrait est souvent le squelette du concret et non son esprit pour lequel on le fait souvent passer.
Il est alors le résultat de la vue d’un myope.


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Le savoir est une chose, la compréhension en est une autre. Mais les gens confondent souvent ces deux idées.

LES BIENVEILLANTES – JONATHAN LITTELL – 05

« Et puis les choses se sont calmées,…

ILS ONT VITE ARRETE DE FUSILLER LES GENS  ILS NE SE FATIGUAIENT MEME PLUS A LES METTRE EN PRISON

Extrait du roman « Les bienveillantes »
de Jonathan Littell

Parcours de lecture
ILS ONT VITE ARRETE DE FUSILLER LES GENS  ILS NE SE FATIGUAIENT MEME PLUS A LES METTRE EN PRISON-s

Extrait en clair

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Et puis les choses se sont calmées,

Ils ont vite arrêté de fusiller les gens, ils ne se fatiguaient même plus à les mettre en prison

LE GRAND MEAULNES – ALAIN FOURNIER – 13

PEU A PEU LE FROID LE PENETRANT IL S ENVELOPPA LES JAMBES DANS UNE COUVERTURE QU IL AVAIT D ABORD REFUSEE

Extrait du roman « Le grand Meaulnes »
de Alain Fournier

Parcours de lecture
PEU A PEU LE FROID LE PENETRANT IL S ENVELOPPA LES JAMBES DANS UNE COUVERTURE QU IL AVAIT D ABORD REFUSEE-s

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Peu à peu, le froid le pénétrant, il s’enveloppa les jambes
dans une couverture qu’il avait d’abord refusée

VA-T-EN VA-T-EN C’EST MIEUX POUR TOUT LE MONDE – CHRISTOPHE GROSSI – 08

 POUSSER LA PORTE D UNE LIBRAIRIE SALUER SES GENS REMETTRE EN PLACE UN LIVRE EGARE ATTENDRE QU ON VIENNE VOUS CHERCHER

… , découvrir un texte qu’on ne connaissait pas encore, … »

Extrait du roman « Va-t-en va-t-en c’est mieux pour tout le monde »
de Christophe Grossi

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parcours de lecture

POUSSER LA PORTE D UNE LIBRAIRIE SALUER SES GENS REMETTRE EN PLACE UN LIVRE EGARE ATTENDRE QU ON VIENNE VOUS CHERCHER-s

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Christophe Grossi chez publie.net

Chez lui et ses invités

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LES GRANDS CHEMINS – JEAN GIONO – 01

« Dans cette vallée qui se resserre, il fera nuit à six…

JE NE CRAINS PAS LA NUIT MAIS C EST L HEURE OU LES GENS ONT PEUR DE CEUX QUI PASSENT

Extrait du roman « Les Grands Chemins »
de Jean Giono

Solution

JE NE CRAINS PAS LA NUIT MAIS C EST L HEURE OU LES GENS ONT PEUR DE CEUX QUI PASSENT-s

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