[De quoi redonner l’espoir à celle qui avait tout à craindre de l’avenir jusqu’alors.]
Mardi 6 Juin 1944
Anne Franck dans son journal écrivait
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[De quoi redonner l’espoir à celle qui avait tout à craindre de l’avenir jusqu’alors.]
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[Et la ville s’approche.]
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Proposition de lecture :
[Un texte qui est d’une actualité brûlante]*
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*Les frontières (toutes les frontières) sont abstractions, leur contour est donné ou assisté, par les mots.
Mais le mot n’a lui même aucune réalité, il sert tout juste, dans sa version utilitaire à éviter les chocs et à contrôler à distance le réel et ceux qui l’habitent.
Le poète, rechargeur de mot (ou éventreur) réinjecte du sens (en toutes ses couleurs, à commencer par celles que lui donnent les peaux) dans le mot … ce qui le fait souvent sortir de ses gongs.
Le résultat étant, qu’une nouvelle porte est ouverte
(il reste à ce que quelqu’un s’en aperçoive et de surcroît
ait l’envie … de sortir prendre l’air.)