L’HONORABLE MONSIEUR JACQUES – ANDRÉ DHÔTEL – 4 –

(Après Jean Giono
Pour saluer Giono-couverture Bientôt un livret dédié à André Dhôtel)

   TU TE FIGURES -letc1

(Pour une lecture plus lente)

TU TE FIGURES -letc0

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Extrait du roman « L’Honorable Monsieur Jacques » de André Dhotel

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Parcours de lecture

TU TE FIGURES -s

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En clair  sur babelio

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Tu te figures que la Saumaie c’est un pays de rien parce qu’il n’y a que trois villages et deux grandes fermes.

La parole … du vent ! – aunryz

       
 NE PRENEZ PERSONNE AU MOT IL NE VOUS RESTERA RIEN DANS LES MAINS-letc1

Pour y voir un peu plus clair (parcours)

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Pour Christophe (sourire)² et tous ceux qui ne déplient pas les images (et ils ont bien raison)NE PRENEZ PERSONNE - txtr à cliquer pour lire à l’occidental


La ségrégation dont sont victimes les myopes se voit à l’œil nu excepté pour eux-même, ce qui l’aggrave encore.

RENTREZ SANS MOI – CHRISTINE ZOTTELE – 2

Rentrez sans moi - couverture« À la mémoire de Lise Bonnafous et de Nathalie Filippi et à tou(te)s les immolé(e)s du silence… » Christine Zottele

L’oeuvre est disponible aux éditions Qazak (Jan Doets)  ici

Extrait de
Brouillons et notes éparses
1 – Les allumettes

CA NE VEUT -letc1cc
         

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Une lecture un peu moins lente
(cliquer)

CA NE VEUT -letc1c

 

                         

Extrait de « Rentrez sans moi » de Christine Zottele 

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Itinéraire de lecture

CA NE VEUT -ss

En clair  sur babelio

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CA NE VEUT -txt


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ça ne veut rien dire,ça ne dit rien, ça se tait, bouche cousue de fil blanc, ça s’immole dans le silence peut–être

CAMPEMENTS – ANDRÉ DHOTEL – 17

(Après Jean Giono
Pour saluer Giono-couverture Bientôt un livret dédié à André Dhôtel)

 
SOUS LES DRAPS- letc1

(Pour une lecture plus ralentie encore)

SOUS LES DRAPS- letc0


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Extrait du roman « Campement »
de André Dhotel

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Parcours de lecture

SOUS LES DRAPS- s

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SOUS LES DRAPS- txt

Un extrait plus long

SOUS LES DRAPS- txt1


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Sous les draps pliés dans l’armoire, où l’on range les sommes considérables, il n’y avait rien.

LE VOYAGE DE SIMON MORLEY – JACK L. FINNEY – 1



LA CONQUETE DE LA LUNE - letc1      

                         —                            

Extrait de
« Le voyage de Simon Morley »
de Jack Finney

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(certains ont souhaité un peu plus de difficulté
à cliquer)

LA CONQUETE DE LA LUNE - letc0

Itinéraire de lecture

LA CONQUETE DE LA LUNE - s

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LA CONQUETE DE LA LUNE - txt1

Un extrait plus long

LA CONQUETE DE LA LUNE - txt2


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Je vous préviens tout de suite : je ne suis même pas autorisé à faire vaguement allusion à la nature de ce projet. Et croyez-moi, jamais vous ne devineriez. Mais il y a une chose que je peux vous dire, et je ne m’en priverai pas : il est absolument fascinant et, tout au long de leur folle histoire, les humains n’ont jamais rien conçu de tel. Dès que j’en ai saisi les implications, j’ai perdu le sommeil, et ce n’est pas une façon de parler : pendant deux nuits, je n’ai littéralement pas pu fermer l’œil. La troisième, il a fallu me faire une piqûre pour que je dorme un peu ; pourtant, je suis plutôt du genre tâcheron sans imagination. Vous me suivez toujours ?
— Mais certainement. Si je comprends bien, vous avez enfin découvert quelque chose de plus intéressant que le sexe ?
— Vous allez voir que vous ne vous trompez pas de beaucoup. La conquête de la Lune n’est rien en comparaison de ce qui vous attend peut-être. La plus merveilleuse des aventures ! Je donnerais n’importe quoi pour être à votre place ; je donnerais des années de ma vie rien que pour tenter ma chance. Et voilà, ami Morley. Je pourrais continuer à discourir, et c’est probablement ce que je vais faire ; mais au fond, tout est dit

Changez tout ! – Aunryz


    
    QUI VEUT CHANGER DU - let

Pour y voir un peu plus clair (parcours)

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Pour Christophe (sourire)² et tous ceux qui ne déplient pas les images (et ils ont bien raison)QUI VEUT CHANGER DU - txti
à cliquer pour lire à l’occidental


Qui veut changer du tout au tout,
doit-il en passer par le rien de rien,
le tout ou rien,
ou le rien du tout.

LES PROMENADES DE JEAN GIONO – PIERRE MAGNAN (textes) DANIEL FAURE (photographies) – 2



RIEN N ETAIT PLUS PROPICE - letc                                                

Extrait du « beau livre »
« Les Promenades de Jean Giono »

de Pierre Magnan

parcours de lecture

RIEN N ETAIT PLUS PROPICE - s

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Rien n’était plus propice à la connaissance réelle que cette privation de la chose convoitée.

SARDINIA (on the road) – DANIEL BOURRION – 09

 » nous droits perçant ce grand mur noir encore encore encore…

PLUS RIEN DESSUS LE CIEL ETAIT LUI NOIR AUSSI ET DEDANS NOUS-let

dans les moments où les rires cessaient aussi par petites poches se levait l’immense peur sombre de l’inconnu mais ça ne durait pas«

Extrait du roman « Sardinia »

de Daniel Bourrion

Parcours de lecture

PLUS RIEN DESSUS LE CIEL ETAIT LUI NOIR AUSSI ET DEDANS NOUS-s

L’extrait (sur babelio)
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PLUS RIEN DESSUS LE CIEL ETAIT LUI NOIR AUSSI ET DEDANS NOUS-txt

Daniel Bourrion chez Publie.net

En librairie de Publie.net

Le lire en ligne sur face-ecran

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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance


nous droits perçant ce grand mur noir encore encore encore plus rien dessus le ciel était lui noir aussi et dedans nous dans les moments où les rires cessaient aussi par petites poches se levait l’immense peur sombre de l’inconnu mais ça ne durait pas

SIGNES CLINIQUES – CHRISTINE JEANNEY – 05

 « Une question de dépossession…DERRIERE LA VITRE LA VILLE SE DEROULE DEHORS SANS MOI LA VILLE NE RESONNE PAS ET NE RACONTE RIEN-let

                                                                               …La ville plate, sa profondeur défaite, un décor peint sur une bâche tendue entre deux rouleaux, quel machiniste a oublié de l’actionner. »

Extrait du roman « Signes cliniques »
de Christine Jeanney

Parcours de lecture

DERRIERE LA VITRE LA VILLE SE DEROULE DEHORS SANS MOI LA VILLE NE RESONNE PAS ET NE RACONTE RIEN-s

En clair

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DERRIERE LA VITRE LA VILLE SE DEROULE DEHORS SANS MOI LA VILLE NE RESONNE PAS ET NE RACONTE RIEN-txt


Christine Jeanney (chez publie.net)

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives


Une question de dépossession.
Derrière la vitre, la ville se déroule dehors, sans moi. La ville ne résonne pas et ne raconte rien.
La ville plate, sa profondeur défaite, un décor peint sur une bâche tendue entre deux rouleaux, quel machiniste a oublié de l’actionner.

LA VIE DEVANT SOI – ROMAIN GARY – 01

« Au début, je ne savais pas que Madame Rosa s’occupait de moi seulement pour toucher un mandat à la fin du mois. Quand je l’ai appris, j’avais déjà six ou sept ans et ça m’a fait un coup de savoir que j’étais payé.…

JE CROYAIS QUE MADAME ROSA M AIMAIT POUR RIEN ET QU ON ETAIT QUELQU'UN L UN POUR L AUTRE-let

J’en ai pleuré toute une nuit et c’était mon premier grand chagrin.»

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Citation proposée sur babelio par noor

Extrait du roman « La Vie devant soi»
de Romain Gary

Parcours de lecture

JE CROYAIS QUE MADAME ROSA M AIMAIT POUR RIEN ET QU ON ETAIT QUELQU'UN L UN POUR L AUTRE-s

En clair

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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance


Au début, je ne savais pas que Madame Rosa s’occupait de moi seulement pour toucher un mandat à la fin du mois. Quand je l’ai appris, j’avais déjà six ou sept ans et ça m’a fait un coup de savoir que j’étais payé.

Je croyais que Madame Rosa m’aimait pour rien et qu’on était quelqu’un l’un pour l’autre.

J’en ai pleuré toute une nuit et c’était mon premier grand chagrin.