DES TROTTOIRS ET DES FLEURS – ANDRÉ DHÔTEL – 1

[Représentant en vin
il est aussi musicien – d’harmonica –
et rêveur.]

« Alors, selon ses dires… TOUT DEVENAIT MUSIQUE - letcr1-exp

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Une lecture plus facile
pour s’initier aux mots liés
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TOUT DEVENAIT MUSIQUE - letcr1-exp-sr

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Extrait du roman « Des trottoirs et des fleurs »

de André Dhôtel

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Parcours de lecture

TOUT DEVENAIT MUSIQUE - sr

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En clair  sur babelio

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TOUT DEVENAIT MUSIQUE - txt0r

 Les amis d’André Dhôtel

Merci de signaler une erreur 


Mais ça ne lui faisait rien d’être resté dans l’ombre. Au contraire, il n’en comprenait que mieux les symphonies ou les quatuors quand il trouvait le temps de s’y consacrer.
Représentant en vins, il arrêtait sa voiture souvent dans la campagne.
Alors, selon ses dires, tout devenait musique, un arbre, un tas de cailloux, les prairies de la plaine, surtout les couchers de soleil.

CLIMATS- LAURENT GRISEL – 1

« le monde est sans intention
le monde est sensible « 


Slow²Reading

PEUPLE QUI REGARDE LES ARBRES - letcr10

Extrait du poème
« Climat »

de Laurent Grisel

Editions publie.net
dans la collection L’Inadvertance, poésie

 

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Parcours de lecture

PEUPLE QUI REGARDE LES ARBRES - s

L’extrait
sur babelio

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PEUPLE QUI REGARDE LES ARBRES - txt0

Un extrait plus long

PEUPLE QUI REGARDE LES ARBRES - txt1

Une lecture de Climat (version courte) par l’auteur
Son site  imagine36tigres

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Merci à Laurent Grisel de m’avoir rappelé le pluriel des climats

« Climats, n’oubliez pas le  « s«  : il y en a plusieurs de toutes couleurs dans les histoires ailleurs avenirs imaginations »


les Mundurukus
désignés par eux-mêmes, dans leur langue : « Wuujuyû », « nous, notre peuple »
 
peuple en lutte autrefois contre l’exploitation du caoutchouc
les arbres saignés de leur sève
les hommes transformés en travailleurs
 
employés dans l’exploitation du kumaru, l’arbre de la fève tonka
un grand arbre très grand, il peut faire 35 mètres de haut —
ayez de grands bras, il peut faire 1 mètre de diamètre —
 
peuple qui regarde les arbres, là-haut, vers leur sommet
et loin, plus haut, plus loin encore
les astres frissonnants, murmurants
 
peuple en lutte contre l’orpaillage
le mercure tueur qui les empoisonne
et contre les pilleurs tueurs
empoisonneurs des cours d’eau et des sols
contre l’armée et les autorités complaisantes aux pilleurs

UN SOIR (Les nuits de Malmont ) – ANDRÉ DHÔTEL – 03

 COMME JACQUES ET LA JEUNE FILLE PASSAIENT DEVANT L ARBRE ON ENTENDIT UN COUP DE FEU ET LA PIE TOMBA

Extrait de la nouvelle « Les nuits de Malmont »
de André Dhotel
(du recueil de Un soir  )

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Parcours de lecture

COMME JACQUES ET LA JEUNE FILLE PASSAIENT DEVANT L ARBRE ON ENTENDIT UN COUP DE FEU ET LA PIE TOMBA-s

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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance


Comme Jacques et la jeune fille passaient devant l’arbre, on entendit un coup de feu et la pie tomba.

UN SOIR (La débâcle de printemps ) – ANDRÉ DHÔTEL – 02

LA LETTRE C'ETAIT ACCROCHEE DANS LES BRANCHES D'UN ARBRE MORT A DEUX METRES DE LA RIVE

Extrait de la nouvelle « La débâcle de printemps »
de André Dhôtel
(du recueil de Un soir  )

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parcours de lecture
LA LETTRE C'ETAIT ACCROCHEE DANS LES BRANCHES D'UN ARBRE MORT A DEUX METRES DE LA RIVE-s

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La lettre s’était accroché dans les branches d’un arbre mort, à deux mètres de la rive.

FAËRIE – J.R.R. TOLKIEN – 01

LA L'AIR EST SI PUR QUE L'OEIL PEUT VOIR LA LANGUE ROUGE DES OISEAUX QUI CHANTENT DANS LES ARBRES DE L'AUTRE COTE DE LA VALLEE

Extrait du recueil de contes « Faërie »
de J.R.R. Tolkien

Parcours de lecture
LA L'AIR EST SI PUR QUE L'OEIL PEUT VOIR LA LANGUE ROUGE DES OISEAUX QUI CHANTENT DANS LES ARBRES DE L'AUTRE COTE DE LA VALLEE-s

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