« Le monde est une vaste chambre pleine de recoins, de cachettes et d’ombres où se dissimulent des ombres. La plupart
des gens ne s’en rendent pas compte, tout occupés qu’ils sont à se livrer à de graves et inutiles affaires de première importance. Ils s’agitent, caquètent, paradent et se pavanent, amoureux de leurs reflets dans les flaques d’eau et aveugles, sourds à tout ce qui n’est pas eux.
Moi, j’ai arrêté de jouer il y a longtemps.
Quand Elle est partie. »
(De la préface)
Une présentation chez les cosaques des frontières
L’oeuvre est disponible à l’achat (2€49 au format epub ou pdf )
aux éditions Qazak (de Jan Doets) ici
[Il n’y a pas que du noir et du gris dans ces histoires de Jean-Baptiste Ferrero
…
il y a aussi des accalmies.]

…et pour qui l’écoute ne constitue pas un effort mais une seconde nature.
Elle me fit asseoir dans le cagibi qui lui servait de bureau et dont les murs étaient tapissés de dessins d’enfants.
– Alors monsieur qu’est–ce qui vous amène ?
«
—
« Le visage à la fenêtre »
—
Itinéraire de lecture

—
En clair le passage complet

Merci de signaler une erreur
Elle faisait partie de ces personnes trop rares qui semblent avoir toujours tout leur temps à vous consacrer et pour qui l’écoute ne constitue pas un effort mais une seconde nature.
Elle me fit asseoir dans le cagibi qui lui servait de bureau et dont les murs étaient tapissés de dessins d’enfants.
– Alors monsieur qu’est–ce qui vous amène ?