L’avis de Pavlov – Un premier roman (2)

*ÉDOUARD VOULAIT ÉCRIRE LES CERCLES-letex

*

[Désir
de qui tient la plume

si difficile à contenter.]

*

*


Extrait de « L’avis de Pavlov »

de Christine Jeanney
Publié aux éditions Qazaq (de Jan Doets)
en édition numérique (gratuit)

ÉDOUARD VOULAIT ÉCRIRE LES CERCLES-col

(Pour le parcours de lecture cliquer l’image)


Christine Jeanney  aux édition  Qazaq
chez publie.net

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives

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RUBATO – Jean-Yves Fick et Bona Mangangu – poème 11

Un nouveau recueil de poésie de Jean-Yves Fick  est paru le 22 avril au catalogue des éditions publie.net.

[Comme souvent, les abonnés ont  eu la primeur de l’événement et pouvaient depuis quelques jours avoir accès au téléchargement de l’oeuvre.]

Jean-Yves Fick a choisi, pour ces poèmes, la silhouette du sonnet (sans les autres contraintes) ceux-ci sont associés aux peintures de Bona Mangangu pour évoquer ce « rubato »
qui fait écho au sens que lui donne la musique … sans oublier son origine (rubare : voler, dérober)
On pourrait même y trouver un sens qui conviendrait parfaitement à l’ambiance dans laquelle nous plonge ces deux artistes et qui a rapport avec ce vol, à savoir : le ravissement, une capture … (osons) de l’âme.

 

DE PASSAGE À JAMAIS - letcr1-exp

Extrait de

Rubato
Peintures de Bona Mangangu
et poèmes de Jean-Yves Fick


Parcours de lecture
(à cliquer)
DE PASSAGE À JAMAIS - sr


DE PASSAGE À JAMAIS - letcr1-exp

L’extrait
DE PASSAGE À JAMAIS - txt0r


Un extrait plus long

DE PASSAGE À JAMAIS - txt1r

Présentation de l’oeuvre chez Publie.net


Chez Publie.net : Jean-Yves Fick

D’autres mots de Jean-Yves Fick gammalphabet


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de passage à jamais
au faîte du bleu comble
la forme des nuages
et peut-être la pluie
 
étoilée de comètes
— elles qu’on ne saurait
nommer les éphémères
— quel être marche ici
 
son geste ne se tourne
pas vers qui le regarde
on dirait qu’il s’efface
 
du monde qu’il rejoint
— l’un de ceux par qui tout
s’anime — l’invisible.

Première phrase du troisième chapitre – André Dhôtel – Pays natal

[Cette série donne la première phrase du troisième chapitre des livres choisis]


image dhôtel cadre

 André Dhotel

 « Pays natal »

Chapitre III

III - L AUTOMNE VINT TOUT À COUP  - letcr-exp
   

 —
sans image
– à cliquer –

III - L AUTOMNE VINT TOUT À COUP  - letcr

 Parcours de lecture

III - L AUTOMNE VINT TOUT À COUP  - sr
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En clair

III - L AUTOMNE VINT TOUT À COUP  - txt0r

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Le début du chapitre

III - L AUTOMNE VINT TOUT À COUP  - txt1r

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Lecture du début de ce troisième chapitre
(nos deux héros sont dans les difficultés mais … la débrouille et la fierté.)


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L’automne vint tout à coup.
De grands vents prématurés se levèrent et les pluies se mirent à voyager sur les forêts.
Tibure et Félix s’étaient habitués très vite à leur nouvelle situation, bien qu’elle fût à peu prêt intenable. Les habits des valises, tous les objets superflus, les épingles de cravate avaient été recédés à la propriétaire qui pratiquait volontiers de petits commerces et qui les vola non sans pleurer leur conditions d’hommes distingués réduits à cette misère.

JOURNAL DE LA BROUSSE ENDORMIE – Nocturne 1 – SERGE MARCEL ROCHE – 4



Journal de la brousse endormie - couvertureLes mots de Serge Marcel Roche
à propos de ses poèmes :

(Précédés dans l’oeuvre par une magnifique* introduction de Anna Jouy qui met en parallèle deux mondes visibles/invisibles.)

« Poèmes écrits dans la chambre, de nuit.
Lui à la table ne fait rien que chercher
la douceur trop souvent absente du cœur humain,
la cherche dans la forme enneigée de l’effraie,
le nid de l’oiseau-soleil,
le silence du bois,
le coq sur le toit,
les arbres des forêts
et la chair tremblante du vent sous le poids de la gloire.

Vient le jour,
son pendant à porter,
les pistes à départir,
les heures à remonter,
le prochain pas à faire
avec la terre battue du corps
sous le couvert des nuages. »

L’oeuvre est disponible (à ce jour gratuitement) aux éditions Qazaq (de Jan Doets)  ici

* au sens plein du terme


SURGIT UN DESIR DE SAVANE - letcr1-exp

                                                … au bord des forêts sombres »

  


(Si tu es novice
ici les liens entre les mots sont donnés
–  à cliquer – )

SURGIT UN DESIR DE SAVANE - letcr1-sr

Extrait du recueil de poèmes

 « Journal de la brousse endormie »
de

Serge Marcel Roche

« Nocturne 1 »

Itinéraire de lecture

SURGIT UN DESIR DE SAVANE - sr

En clair
(chez babelio)

SURGIT UN DESIR DE SAVANE - txt1r

 

Proposition de lecture :

 

 

Serge Marcel Roche en ses lieux virtuels : Chemin tournant



Le silence noir de l’insomnie
Aux tempes secrètes de la nuit
Un grillon dans la chambre
Et puis des voix lointaines sur la route
Rapportées par le vent
Reversées dans les mots
On a peine à les lire sous la lampe trop dure 
De la lune
Ils flottent entre les feuilles du mandarinier
Entre les clameurs de grenouilles
Semblables à certains cris d’oiseaux
Quand ils s’attroupent dans les arbres
Près des foulées

Surgit un désir de savane
De sable sous les pieds
D’horizon monotone
D’attente de la pluie
D’un giclement d’orage au bord des forêts sombres
Dont la fraîcheur lui parviendrait
Odorée de mangues et de lourdes goyaves
Mais il est seul sur le lit

LE CERCLE DU RIVAGE – LAURE MORALI et CHRIS FRIEL- 1

 ( Préambule  du livre :
« Il y a dans ces paysages maritimes une force qui nous dépasse.
Commet en nier la beauté primitive, envoûtante, qui nous submerge calmement ?
C’est ainsi…
Louise Imagine »
)

Slow²Reading

DANS LES VILLES OU J AVAIS VECU - letcr1-exp

Extrait de la proposition de voyage de
Laure Morali et  Chris Friel

« Le cercle du rivage « 

Parcours de lecture

DANS LES VILLES OU J AVAIS VECU - srr

L’extrait

DANS LES VILLES OU J AVAIS VECU - txt0r

Un extrait plus long

DANS LES VILLES OU J AVAIS VECU - txt1r

les TAGS
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C’était si calme. La mer métallique à l’approche de la pluie. Soupir à la poitrine. L’odeur de foudre concentrée dans les gouttes. La courbe du soleil sur la ligne d’eau. Mon efflorescence. Tout était à sa place. J’avais été formé par ce rivage, entre les pôles de la marée. Je devais m’y résoudre.
Dans les villes où j’avais vécu, m’avaient douloureusement manqué les pluies qui battent mauves sous la peau de la mer.

LE LIVRE DES BALTIMORE- JOE DICKER – 1


REVE ET REVE EN GRAND SEULS SURVIVENT - letcr-exposure-1

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(Pour une lecture plus lente
à cliquer)

REVE ET REVE EN GRAND SEULS SURVIVENT - let1

Extrait du roman « Le Livre des Baltimore » de Joël Dicker

Parcours de lecture

REVE ET REVE EN GRAND SEULS SURVIVENT - s

En clair

REVE ET REVE EN GRAND SEULS SURVIVENT - txt0

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Les TAGS donnent des mots de la grille.

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– On n’a qu’une vie, Alexandra ! Une seule petite vie de rien du tout ! N’as tu pas envie de l’employer à réaliser tes rêves au lieu de moisir dans cette université stupide ? Rêve, et rêve en grand ! Seuls survivent les rêves les plus grands. Les autres sont effacés par la pluie et balayés par le vent.

COLLINE – JEAN GIONO – 05

« Et le facteur ne monte plus.
Sauf, parfois, à la fin du mois, quand les billets qu’on a souscrits chez le notaire tombent à échéance.
Autant dire qu’on ne le désire pas. …

CE QUI VIENT DE LA VILLE EST MAUVAIS LE VENT DE LA PLUIE ET LE FACTEUR-let                                                                                     … Personne ne contredit.
On préfère le vent qui vient du désert de Lure, qui coupe comme un rasoir, mais qui chasse les pies et indique, à ceux qui savent, le gîte caché des lièvres. »

Extrait du roman « Colline»
de Jean Giono

parcours de lecture
CE QUI VIENT DE LA VILLE EST MAUVAIS LE VENT DE LA PLUIE ET LE FACTEUR-s

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CE QUI VIENT DE LA VILLE EST MAUVAIS LE VENT DE LA PLUIE ET LE FACTEUR-txt

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Et le facteur ne monte plus.
Sauf, parfois, à la fin du mois, quand les billets qu’on a souscrits chez le notaire tombent à échéance.
Autant dire qu’on ne le désire pas.
Ce qui vient de la ville est mauvais : le vent de la pluie et le facteur.
Personne ne contredit.
On préfère le vent qui vient du désert de Lure, qui coupe comme un rasoir, mais qui chasse les pies et indique, à ceux qui savent, le gîte caché des lièvres.