La conclusion – Aurélien Bellanger – Pourquoi la mort de Bretécher m’a-t-elle rendu aussi triste ?

Dans sa chronique quotidienne 
Aurélien Bellanger, (un peu frustré de ne plus retrouver la cause d’un ancien excès verbal à son encontre) se souvient du passage de Claire Bretécher (dont le premier e est muet, ce qui explique peut-être une relative timidité/discrétion* chez elle) dans la librairie où il travaillait.

À l’heure de sa disparition récente, il s’interroge, avec la profondeur d’analyse qu’on lui connait sur la  » féminisation d’un cauchemar baudelairien aux héroïnes avachies et spleenétiques » qu’est pour lui (au moment d’écrire cette chronique, car le cycle de la pensée d’A.B. est divinement incertain) l’oeuvre de Claire (laquelle est peut-être un peu également pour A.B. « l’oeuvre au Noir » du point de vue de l’alchimie secrète du gag).

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* D’autant que la dessinatrice et écrivain a toujours insisté farouchement pour défendre son nom à la lettre


CONB07-QUI LES AVAIT AUTANT-le-i


(Plus facile)


(Solution)

 

2 commentaires sur “La conclusion – Aurélien Bellanger – Pourquoi la mort de Bretécher m’a-t-elle rendu aussi triste ?

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