Dans sa chronique quotidienne
Aurélien Bellanger,
– qu’une saine colère rend ce jour là, plus encore que d’ordinaire, vif et flamboyant –
a dit/écrit.
(*pour peu qu’il y ait un ordinaire en Aurélien Bellanger)
« Il y avait mille raisons, pourtant, de justifier la réforme : nous étions trop chers, trop archaïques, trop compétents aussi, puisque nous faisions du mal à Europe 1, à Rire & Chanson et à Latina. L’argent investi n’était pas productif, il n’était pas réinjecté dans l’économie, nous étions un pôle de langueur, un trou noir publicitaire, une distorsion stupide, anachronique, des lois de la libre concurrence. Quiconque aurait voulu se lancer dans l’industrie du podcast nous aurait trouvé, sur son chemin,
…
Je me régale, en semaine, à écouter, puis à lire (deux plaisirs très complémentaires, concernant ces trois minutes en temps condensé.) « la conclusion » d’Aurélien Bellanger.
J’engage ici particulièrement à lire cette chronique qui dénonce un projet où s’exprime clairement la volonté de supprimer de notre quotidien tout ce qui se soustrait peu ou prou aux lois de l’économie strictement marchande.