[le désespoir est un marais
il immobilise l’esprit de l’homme
bien mieux qu’une prison]
Dans Combat du 25 novembre 1948 Albert Camus écrivait
(Lire)
J’ai toujours pensé que si l’homme qui espérait dans la condition humaine était un fou, celui qui désespérait des événements était un lâche. La violence est à la fois inévitable et injustifiable, c’est cela que je ne puis pardonner à la société politique contemporaine : qu’elle soit une machine à désespérer les hommes.
MOTS LIÉS 
Les mots mêlés m’intrigue, j’avoue ne pas comprendre. Un éclairage est il possible ?
Merci
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Suis le labyrinthe de lettres et tu pourras lire la phrase.
Chaque première lettre d’un mot est en bleu.
Ou plus directement clique sur « lire » (sous l’image)
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merci 🙂
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A reblogué ceci sur lerestnadine.
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Moi aussi, j’y arrive pas. Et comme j’ai honte, j’viens m’cacher chez Albert. Un cadeau d’explication en ce jour de Noël ?
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C’est cela que je puis pardonner… Puisque la rétention d’information n’est plus 😇 !
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