Les partisans de la théorie de l’évolution sont souvent gênés par
l’intitulé même de cette théorie
En effet si elle suppose que les modifications du vivant sont des adaptations permettant de survivre, voire de mieux vivre dans un environnement plus ou moins hostile
alors il n’y a pas d’évolution (mot qui suppose un plus absolu … ou même un but ?)
D’autres déclarations paradoxales de scientifiques sont du même genre
et peuvent même donner à penser l’existence d’un grand programmeur.
(Phrase produite pour justifier l’enseignement précoce de la programmation à l’école
(au même rang que la langue maternelle ?)
C’est le hasard (et peut-être l’hésitation consubstantielle du vivant)
qui permettent d’envisager un monde (avec ou) sans dieu.
J’ai bien des doutes, peut-être programmés, sans doute pas, Aunryz.
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si même l’évolution ne nous promet plus des lendemains qui chantent !
Cela dit, même le pire se programme
c’est pourquoi le hasard a son charme…
Et j’imagine en souriant les crieurs de bonnes feuilles : « Les dernières nouvelles de l’évolution ! Demandez le programme ! »
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(carnetsparesseux)
je souris volontiers avec toi
et te remercie de l’occasion
ces temps-ci
j’ai des nuages noirs dans la boite en calcium
un rayon de soleil
est le bien venu.
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(Gilles) Sans doute pas … (je prends)
oui
ce qui différencie la vie de la mécanique
c’est le doute, l’hésitation, le temps suspendu dans lequel
rien ne se fait
et
tout se fait (sans nous … ou tout du moins sans notre participation active)
La machine ne parvient qu’à simuler cette hésitation ce trouble, par des artifices de calcul
(la fonction « humaniser » sur les séquenceurs des synthétiseurs)
oui
sans aucun doute
(on voit d’ailleurs que ton coup de crayon est gorgé d’hésitation (sourire)² juste avant de saisir l’image et de nous la donner)
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