[poème de musique
en musique
céleste]
Christophe Sanchez, sur son blog « Fut-il.net »
donnait ce jour
« Refrain«
Le poème en son entier
Christophe Sanchez en ses murs
(percés d’ouvertures multiples)
[poème de musique
en musique
céleste]
Christophe Sanchez en ses murs
(percés d’ouvertures multiples)
Après plusieurs recueils de poésie (qui ont suivi « Strasbourg verticale« ), Anna Jouy publie à nouveau un roman (autobiographique) aux éditions Qazaq (de Jan Doets).
La date prévue pour cette sortie est … juste un peu avant la grande rentrée littéraire de septembre, le 26 août prochain.
On peut voir une présentation vidéo très poétique (on ne se refait pas !) sur le site des éditions Qazaq.
Anna a bien voulu m’autoriser à citer une phrase de son texte et m’a laissé la choisir en me procurant un extrait de son roman.
Proposition de lecture pour l’extrait complet :
Un peu comme un écho à
« Lélio Lacaille s’entretient avec aunryz à propos de la lecture-rencontre qui a réuni Michaël Batalla, Raymond Galle et Lucien Suel en la médiathèque de Port de Bouc. »

[bien évidemment une surface stable est toujours utile
pour poser le pied
et plus confortable
pour y progresser … mais]
(Texte plus contrasté, cliquer ici)
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Du relief ici : Tokaïdo Yoshida (Toyogawa – bashi -34e relais)
« Le monde est une vaste chambre pleine de recoins, de cachettes et d’ombres où se dissimulent des ombres. La plupart
des gens ne s’en rendent pas compte, tout occupés qu’ils sont à se livrer à de graves et inutiles affaires de première importance. Ils s’agitent, caquètent, paradent et se pavanent, amoureux de leurs reflets dans les flaques d’eau et aveugles, sourds à tout ce qui n’est pas eux.
Moi, j’ai arrêté de jouer il y a longtemps.
Quand Elle est partie. »
(De la préface)
Une présentation chez les cosaques des frontières
L’oeuvre est disponible au prix d’un café au bord de mer* au format epub ou pdf
aux éditions Qazak (de Jan Doets) ici
*Dixit Christophe Sanchez, et il s’y connait en bord de mer … et en café.
[Une enquête qu’il était sur le point de refuser … parce qu’il n’est pas un charognard.] 


A la racine de ce recueil de poésies de la Chine ancienne
se trouve la biographie
ou comme il préfère la désigner
« Les poussières de vie » du traducteur, puis celles des 8 poètes qu’il a choisi.
L’extrait donné ici provient d’un des textes de Wang Wei
dont il rapporte que
« Tout ce qu’il a écrit ne fut qu’un écho de compassion au silence. »
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Une présentation chez l’éditeur (Jan Doets)
Le recueil est disponible (éditions qazaq)
aux formats liseuse et pdf
en téléchargement ici
au prix d’un « café au bord de mer » (Christophe Sanchez)
(ou, à cliquer)

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Extrait du poème de
Wang Wei
« Montée au Temple de la compréhension »
du recueil
« Cartes postales de la Chine ancienne »
redonnées en français par L’apatride
(transmis par Anh Mat)
On Peut se procurer ce recueil
aux éditions Qazaq
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[Explorer les densités de … l’absence
c’est hors de portée des sciences
seul le poète peut s’y immerger et en rapporter … un « présent »]
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L’extrait
![]()
Un extrait plus long
Présentation de l’oeuvre chez Publie.net
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les TAGS
donnent des mots
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Les mots de Serge Marcel Roche
à propos de ses poèmes :
(Précédés dans l’oeuvre d’une introduction de Anna Jouy qui met en parallèle deux mondes visibles/invisibles.)
« Poèmes écrits dans la chambre, de nuit.
Lui à la table ne fait rien que chercher
la douceur trop souvent absente du cœur humain,
la cherche dans la forme enneigée de l’effraie,
le nid de l’oiseau-soleil,
le silence du bois,
le coq sur le toit,
les arbres des forêts
et la chair tremblante du vent sous le poids de la gloire.
Vient le jour,
son pendant à porter,
les pistes à départir,
les heures à remonter,
le prochain pas à faire
avec la terre battue du corps
sous le couvert des nuages. »
L’oeuvre est disponible (à ce jour gratuitement) aux éditions Qazaq (de Jan Doets) ici



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Serge Marcel Roche en ses lieux virtuels : Chemin tournant
A la racine de ce recueil de poésies de la Chine ancienne
se trouve la biographie
ou comme il préfère la désigner
« Les poussières de vie » du traducteur, puis celles des 8 poètes qu’il a choisi.
L’extrait donné ici provient d’un des textes du premier poète cité par l’apatride : Tao Yuan Ming
dont il rapporte que
« il habitait dans une hutte et composait des poèmes, se remettait sans arrière-pensée au destin des fleurs. »
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Une présentation chez l’éditeur (Jan Doets)
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Extrait du poème de
Tao Yuan Ming
« les prémices d’un poème »
du recueil
« Cartes postales de la Chine ancienne »
redonnées en français par L’apatride
(transmis par Anh Mat)
On Peut se procurer ce recueil
aux éditions Qazaq
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le temps soudain maussade vers là-bas
sur ce sentier à travers buissons et ravins
je rentre poser ma canne après le torrent
où joyeux j’ai trempé mes pieds nus
pour ce vin printanier du cru nouveau
j’ai égorgé un poulet au soleil couchant
invitant un voisin dans ma hutte sauvage
toute éclairée de torches en branchages
ainsi le dîner et la soirée… déjà la fête fut courte
déjà l’aube qui se lève… des prémices d’un poème
Publié en numérique aux toutes nouvelles éditions Qazaq
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pour une lecture un peu moins lente
à cliquer
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parcours de lecture

En clair (sur babelio)
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