INDIEN – MANUEL DE GEOGRAPHIE 1874

[L’ancienne conception des races humaines « permettait » de définir une race indienne spécifique aux Amériques]

 

LA RACE CUIVRÉ A LE TEINT -  LETCR1-EXP

Définition extraite d’un manuel de « géographie élémentaire » de 1873 destinée aux élèves des écoles primaires chrétiennes du Canada français.

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Parcours de lecture

LA RACE CUIVRÉ A LE TEINT -  S

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La page du manuel

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On y « appréciera » également les distinctions
entre quatre « classes » de civilisations.

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La race cuivrée a le teint rouge cuivré et le nez camus ; elle ne comprend que les peuples indigènes de l’Amérique, dont le nombre diminue tous les jours. On les appelle communément Indiens.

La race olivâtre ne diffère de la blanche que
par un teint plus foncé et une bouche plus grande à cette race appartiennent les habitants de la presqu’île de Malajo, la plus grande partie de ceux de l’Océanie,et les Malgaches ou habitants de Madagascar.

La Race noire a le teint noir, les cheveux crépus et laineux ; tels sont : les nègres de l’Abyssinie, du Soudan, de la Sénégambie, de la Guinée, et presque tous les peuples de l’Afrique centrale et méridionale.

SECTION III-CIVILISATIONS.
On peut encore diviser les habitants de la Terre en quatre différentes classes, suivant le degré de civilisation où ils sont parvenus, savoir : 1» les Sauvages, 2» les Barbares, 3» les Demi-Civilisés, 4» les Civilisés.

Par Sauvages on entend ordinairement des peuples qui vivent errants, sans lois fixes, sans gouvernement régulier, et dont tout le soin se borne aux besoins du moment.

Les Barbares sont des peuples généralement cruels, inhumains, ne cultivant ni littérature, ni arts, ni sciences.

Les Peuples mi-civilisés ont quelques connaissances de l’agriculture, des sciences et des arts mais ils sont très jaloux des étrangers et traitent leurs femmes comme des esclaves

Un Peuple civilisé est un peuple poli, honnête de mœurs douces, sociables, qui cultive les lettres, les arts et les sciences avec une grande perfection ainsi que l’agricuIture et le commerce.

LA CLEF DE LA MAGIE OCCULTE – STANISLAS DE GUAITA – 2

Se souvenir que les mots « magie » et « occulte » n’avaient pas initialement le sens qu’on leur donne actuellement
et notamment cette rupture totale avec la « vraie science »

Chez Stanislas de Guaita
il s’agit ici (au moins dans un premier temps) d’un travail sur le symbole.
Il fouille les mots, les images, les récits et les met en correspondance avec ce monde.
En surgit ce qu’on peut appeler compréhension
et qui a des affinités avec
ce que nous font approcher
les poètes.

IL A LA PEAU D UN ROT QUI BRULE - letcr1-expo

Extrait du recueil « LA CLEF DE LA MAGIE NOIRE »

de STANISLAS DE GUAITA

Ici l’auteur cite un petit poème de Piron

parcours de lecture

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ils donnent certains mots de la grille.

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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance


Il a la peau d’un rôt qui brûle
Le front cornu
Le nez fait comme une virgule,
le pied crochu

Le fuseau dont filait Hercule
Noir et tordu
Et, pour comble de ridicule
La queue au cul.