GRACIEUSE DANS LE DÉSERT – ZYRÀNNA ZATÈLI – 2


« Dès le premier instant il lui confia sans détours : …
DES ENFANTS ENCORE  - letcr1


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Extrait du recueil de nouvelles « Gracieuse dans ce désert »

de Zyrànna Zatèli

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cette femme prolifique, à chaque fois qu’elle enfantait, était assaillie de pensées mélancoliques :
 — Des enfants, encore des enfants… Dieu les donne, ou le Diable, je ne sais pas, et de toute façon, tôt ou tard, la terre les reprend.

GRACIEUSE DANS LE DÉSERT – ZYRÀNNA ZATÈLI – 1


« Dès le premier instant il lui confia sans détours : …
J AI ENTENDU DIRE - letcr1

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Extrait du recueil de nouvelles « Gracieuse dans ce désert »

de Zyrànna Zatèli

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Ils étaient dix-neuf frères et sœurs, en quatre groupes. Sept enfants de ce père-là et d’une malheureuse, morte avec le nouveau-né au huitième accouchement ; sept autres venus avec la deuxième femme qu’il épousa, trois d’un premier mariage et quatre du second, ladite femme se retrouvant veuve une fois enceinte — sans le savoir encore — de son huitième, qui fut mort-né.
Elle le mit au monde, l’enterra et reçut, le soir du surlendemain, la demande en mariage du veuf Theayènis. Elle prit ses sept enfants et le trouva chez lui en compagnie des sept autres. Dès le premier instant il lui confia sans détours :
 — J’ai entendu dire que tu es une bonne mère pour des enfants nombreux, mais une sorcière pour les hommes. N’essaie pas d’être veuve une troisième fois, tu le paieras cher.

LA GRANDE BEUVERIE – RENÉ DAUMAL – 11

Ici René Daumal annonce l’évolution de l’Ecole vers des systèmes éducatifs, de plus en plus outillés, faisant de plus en plus appel au savoir standardisé des « scients » (Celui qui permet de dire à l’étape finale « Je sais tout mais je ne comprends rien« ) et à ses outils de « stockage de l’information.

Il a écrit, en prophète, à un détail près :
« Qu’est-ce qu’on recherche dans un bon tutoriel ? C’est un maître de poche : tous les avantages du maître, sans en avoir les inconvénients. »

René Daumal n’avait cependant pas prévu que, parallèlement, l’on tendrait à effacer chez le maître tout ce que l’on considère comme des « inconvénients » (c’est à dire tout ce qui ne concourt pas à l’efficacité, à court terme, du système)


« Nous avons complètement refait les vieux systèmes pédagogiques. Quatre équipes d’instructeurs s’occupent respectivement de l’éducation physique, de l’éducation artistique, de l’éducation scientifique et de l’éducation religieuse.
Les premiers ont rendu au corps sa place et ses droits…
UN QUART DE LA JOURNEE - letc1

                                                                    …et des Mémoires des grands champions, rédigés en vers mnémoniques et accompagnés de nombreuses illustrations.
Ainsi l’enfant le plus malingre, au bout de deux ans, sans fatigue et sans perte de temps, sait tout ce qui est à savoir sur la culture physique.« 

 Extrait de  « La grande beuverie »
de René Daumal

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Nous avons complètement refait les vieux systèmes pédagogiques. Quatre équipe d’instructeurs s’occupent respectivement de l’éducation physique, de l’éducation artistique, de l’éducation scientifique et de l’éducation religieuse.
Les premiers ont rendu au corps sa place et ses droits.
Un quart de la journée de l’enfant est consacrée à l’étude des traités de gymnastiques des manuels de tous les sports et des Mémoires des grands champions, rédigés en vers mnémoniques et accompagnés de nombreuses illustrations.
Ainsi l’enfant le plus malingre, au bout de deux ans, sans fatigue et sans perte de temps, sait tout ce qui est à savoir sur la culture physique.

MONSIEUR M – ANH MAT – 13

L ODEUR DE LA MORT - letcr1

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Extrait du roman* « Monsieur M »

de Anh Mat

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Anh Mat chez publie.net

Lorsqu’il nous dit   « les nuits échouées »

* Entre le roman et le poème, l’enquête (tout interroge) et l’évocation d’une descente aux enfers d’un Ulysse écrasé sous la multitude de dieux anonymes et terriblement obstinés.


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l’odeur de la mort semble contagieuse. Seul un enfant ose s’approcher.

L’HONORABLE MONSIEUR JACQUES – ANDRÉ DHÔTEL – 6

(Après Jean Giono
Pour saluer Giono-couverture Bientôt un livret dédié à André Dhôtel)

 

COMME S IL FALLAIT - letc2

(Pour une lecture plus lente)

COMME S IL FALLAIT - letc0

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Extrait du roman « L’Honorable Monsieur Jacques »

de André Dhotel

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Un extrait plus long

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Ce n’était pas Viviane, mais il serait beau de croire … Dans quel mensonge allait-il se jeter lui aussi ? Comme s’il fallait chercher la vérité à la limite du mensonge, à la manière des enfants sans doute.

LES CHAUSSURES ITALIENNES – HENNING MANKELL – 1




JE PASSAIS -letc1

                                             

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Extrait du roman
« Les chaussures italiennes »

de Henning Mankell

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Enfant, je passais mes étés à jouer ici même, sur l’île de mes grands-parents, sans la moindre idée de ce temps qui rétrécit sans cesse.

LE PEDAGOGUE N’AIME PAS LES ENFANTS – HENRI ROORDA – 03

« L’École doit donc se demander : « Est-ce que la science que j’enseigne a une valeur générale ? Est-ce que chacun de mes élèves, s’il est zélé, retirera un réel profit des leçons auxquelles il est tenu d’assister ? » Si elle était scrupuleuse, elle se demanderait encore : …


EXISTE T IL-letc1

(Pour une lecture encore plus lente)

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Extrait de l’oeuvre  « Le Pédagogue n’aime pas les enfants »

de Henri Roorda

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L’École doit donc se demander : « Est-ce que la science que j’enseigne a une valeur générale ? Est-ce que chacun de mes élèves, s’il est zélé, retirera un réel profit des leçons auxquelles il est tenu d’assister ? » Si elle était scrupuleuse, elle se demanderait encore : « Existe-t-il des moyens meilleurs que ceux que j’emploie pour instruire et pour fortifier ces enfants ? »

CAMPEMENT – ANDRÉ DHOTEL – 07

« En été il s’élève de hautes graminées dans les chemins des bois et tous les enfants des villages en ont respiré l’odeur : Jacques demande à ces forêts de garder toujours en lui le courage d’admirer la terre…

AUX ENFANTS QUI VIENNENT JOUER DANS LES TAILLIS LES FEUILLAGES DOUX AU FRONT ONT PROMIS DES MIRACLES-let

                                               …  Les mains de Jacques sont glacées.
Dans les descentes, il maintient les guides avec douleur.
Il pense à la classe du lendemain. »

                         —                            

Extrait du roman « Campement »
de André Dhotel

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Un peu au-delà de l’extrait

AUX ENFANTS QUI VIENNENT JOUER DANS LES TAILLIS LES FEUILLAGES DOUX AU FRONT ONT PROMIS DES MIRACLES-txt2


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En été il s’élève de hautes graminées dans les chemins des bois et tous les enfants des villages en ont respiré l’odeur : Jacques demande à ces forêts de garder toujours en lui le courage d’admirer la terre.
Aux enfants qui viennent jouer dans les taillis, les feuillages doux au front ont promis des miracles.
Les mains de Jacques sont glacées.
Dans les descentes, il maintient les guides avec douleur.
Il pense à la classe du lendemain.

LE PEDAGOGUE N’AIME PAS LES ENFANTS – HENRI ROORDA – 01

« Les écoles actuelles peuvent donc compter sur l’approbation de beaucoup de personnes raisonnables.

Elles peuvent compter aussi sur l’adhésion muette et distraite de nombreux citoyens qui ont à résoudre des questions plus pressantes ou plus attrayantes que le problème de l’enseignement public.…

LA PLUPART DES HOMMES S INTERESSENT PEU A CE QUI SE PASSE DANS LE COIN DES ENFANTS-let

…N’y a-t-il pas quelque chose de rassurant, d’ailleurs, dans l’admirable ponctualité avec laquelle, chaque jour, aux mêmes heures, maîtres et élèves reprennent leur besogne ?

Tout se passe normalement.»

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Extrait de l’oeuvre  « Le Pédagogue n’aime pas les enfants »

de Henri Roorda

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Non seulement les écoliers supportent le régime auquel ils sont soumis, mais, s’ils en souffrent, c’est d’une manière bien peu apparente.
Le bien qu’on leur fait est moins hypothétique. On leur apprend à lire, à écrire et à compter. Ils acquièrent, en outre, dans leurs leçons, des notions variées, susceptibles d’émerveiller les gens simples.

D’autre part, l’École décharge les parents, cinq, six ou sept heures par jour, du soin de surveiller leur progéniture. Elle donne des certificats flatteurs aux élèves studieux. Enfin, elle délivre aux jeunes gens le diplôme qui leur permettra de faire l’apprentissage de quelque profession plus ou moins lucrative. Pour exiger d’elle davantage, ne faut-il pas accorder aux choses de l’esprit une importance excessive ?

Les écoles actuelles peuvent donc compter sur l’approbation de beaucoup de personnes raisonnables.

Elles peuvent compter aussi sur l’adhésion muette et distraite de nombreux citoyens qui ont à résoudre des questions plus pressantes ou plus attrayantes que le problème de l’enseignement public.

Car la plupart des hommes s’intéressent peu à ce qui se passe dans le coin des enfants.

N’y a-t-il pas quelque chose de rassurant, d’ailleurs, dans l’admirable ponctualité avec laquelle, chaque jour, aux mêmes heures, maîtres et élèves reprennent leur besogne ? Tout se passe normalement. Et de même qu’on remet ses lettres aux employés de la poste, il est conforme à l’usage de confier ses enfants aux spécialistes de la pédagogie.

L’ÎLE AU TRÉSOR – ROBERT LOUIS STEVENSON – 01

 JE VAIS ME FAIRE SERVIR UN VERRE DE RHUM PAR CE CHER ENFANTCI QUI M INSPIRE TANT DE SYMPATHIE ET NOUS ALLONS NOUS ASSEOIR

Extrait du roman « L’Île au trésor  »

de Robert Louis Stevenson

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JE VAIS ME FAIRE SERVIR UN VERRE DE RHUM PAR CE CHER ENFANTCI QUI M INSPIRE TANT DE SYMPATHIE ET NOUS ALLONS NOUS ASSEOIR-s

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Je vais me faire servir un verre de rhum par ce cher enfant-ci, qui m’inspire tant de sympathie, et nous allons nous asseoir