« Le pays où l’on arrive jamais » – André Dhôtel – page 22

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« Je n’ai jamais interdit à un élève
de regarder par la fenêtre.»


disait André Dhôtel à propos de
cette ultime forme de l’école buissonnière
qui est encore possible (?) de nos jours.

C’est ce que le Livre permet depuis toujours
fenêtre ouverte sur
ce qui buissonne à deux pas de nous.


Vingt deuxième page,
Cette fois ci

le compte est bon.

 


«  Il y eut un bruit fantastique. Gaspard ne sut jamais comment il avait sauté de la table. Il se retrouva étendu presque au milieu de la salle. La glace s’était fracassée et les débris gisaient autour de lui. Il avait dû perdre connaissance. Son épaule gauche avait été entaillée par un éclat de verre et saignait abondamment. La tante, la servante, le cuisinier et le commis étaient penchées au-dessus de lui:
»…
  

P22 - QUE T’ EST - IL ARRIVÉ ENCORE-let


 

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… – Que t’est-il arrivé encore ?… Comment te sens-tu, Gaspard ? demandait la tante.
– Mille, dit Gaspard…
– Il est devenu fou. 
»

____________

Pour la première fois
Gaspard est entièrement responsable de l’accident
et
pour la première fois
il n’en sort pas tout à fait indemne.

André Dhôtel nous dit-il quelque chose
là ?

LE VILLAGE PATHÉTIQUE – ANDRÉ DHÔTEL – 14


[La nuit reprend ses droits]

     LES ETOILES AVAIENT DANS LE CIEL - letcr1-exp

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Si tu est novice,
plus facile avec les liens entre les mots
– à cliquer –

LES ETOILES AVAIENT DANS LE CIEL - letc1-sr

Extrait du roman « Le Village pathétique »
de André Dhotel

 —

Parcours de lecture

LES ETOILES AVAIENT DANS LE CIEL - sr

En clair

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 Un extrait plus long

LES ETOILES AVAIENT DANS LE CIEL - txt1r


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Les étoiles avaient dans le ciel un éclat aigu, tandis que les voix se perdaient au fond des ruelles.
Reine revint chez elle sans avoir surpris une parole qui la renseignât d’une façon précise. Comme une lumière brillait encore chez Mathilde elle frappa au carreau et lui confia à tout hasard qu’un événement extraordinaire s’était passé chez Tanier.

HYMNE DE L’UNIVERS – PIERRE TEILHARD DE CHARDIN – 2

La langue poétique d’un scientifique à l’écoute du monde

René Daumal n’aurait pas manqué de remarquer
« Tu aurais pu dire plus simplement :
un homme accompli« 


 

« C’est fait.
  Le feu dans le monde .
Le Feu, encore une fois, a pénétré la Terre…

IL N EST PAS TOMBE BRUYAMMENT - letc1-exp 

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le lien entre les mots est donné

IL N EST PAS TOMBE BRUYAMMENT - letc1-sr

    

Extrait de l’essai « Hymne de l’univers»
de Pierre Teilhard de Chardin

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Parcours de lecture

IL N EST PAS TOMBE BRUYAMMENT - sr

En clair

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Un extrait plus long

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N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur 


C’est fait.
Le feu dans le monde. Le Feu, encore une fois, a pénétré la Terre. Il n’est pas tombé bruyamment sur les cimes, comme la foudre en son éclat. Le Maître force-t-il les portes pour entrer chez lui ?
Sans secousse, sans tonnerre, Sans secousse, sans tonnerre, la flamme a tout illuminé par le dedans. Depuis le coeur du moindre atome jusqu’à l’énergie des lois les plus universelles, elle a si naturellement envahi, individuellement et dans leur ensemble,, chaque élément, chaque ressort, chaque liaison de notre Cosmos, que celui-ci, pourrait-on croire, s’est enflammé spontanément.

 

 » il disait  » de Louise Imagine – Chez Isabelle Pariente-Butterlin ((Vases communicants Juin 2015)

Dans le cadre des Vases Communicants,

(liste sur « Le rendez-vous des vases communicants« )

à lire au bord des mondes :

 » Il disait  »
Texte et photographies de Louise Imagine

[court extrait
qui m’a saisit]

LE SILENCE EST FROID ET LES MARCHES HUMAINES CLOISONNEES NE SONT QUE LES PREMICES D UNE MORT SANS ECLAT-letc

parcours de lecture

L’extrait en lecture rapide (cliquer)

  LE SILENCE EST FROID ET LES MARCHES HUMAINES CLOISONNEES NE SONT QUE LES PREMICES D UNE MORT SANS ECLAT-txtr


Louis Imagine accueille en retour Isabelle Pariente-Butterlin

« EXPLOSION INTERNE » D’ISABELLE PARIENTE BUTTERLIN – VASE COMMUNICANT