« Je n’ai jamais interdit à un élève
de regarder par la fenêtre.«
…
disait André Dhôtel à propos de
cette forme ultime de l’école buissonnière
qui est encore possible (?) à l’époque moderne.
C’est ce que le Livre permet
et « Le pays où l’on arrive jamais »
est une de ces fenêtres ouvertes sur
ce qui buissonne à deux pas de nous.
Croire qu’elle ne s’adresse qu’aux enfants
parce que deux enfants en sont les personnages (humains) principaux
serait (un bien grand) dommage
(ce serait un peu comme : croire que les pâtes ne s’adressent qu’aux italiens …
on y perdrait la connaissance d’un continent entier du goût)
Première page,
Est évoqué, en deux phrases, ce pays …
– au sens ancien de lieu ayant une (unité) de vie propre –
…où va se dérouler l’histoire
« Il y a dans le même pays plusieurs mondes véritablement. Si l’on explore les Ardennes, ce n’est pas une forêt que l’on découvre, mais mille forêts. Dans les contrées situées au nord, jusqu’au Rhin ou jusqu’au port d’Anvers, ce sont des centaines de collines et de plaines chargées de richesses, et l’on peut voir aussi les eaux immenses des canaux, des fleuves, des bras de mer, tandis qu’au cœur des villes, …
Un voisin qui, honnêtement, ne me laisse pas un bon souvenir, contrairement à René Daumal.
Belle soirée, Aunryz.
J’aimeAimé par 1 personne
René André et Lewis (Mumford) sont mes trois compagnons de voyage
J’aime André
parce que
comme un certain nombre de ses lecteurs
je me suis retrouvé comme anti-héro de ses histoires.
Bonne journée à toi Gilles.
J’aimeAimé par 1 personne