Dans « Des machines et des hommes » Monique Linard* évoque le pouvoir qu’ont les (nouvelles) Technologies de développer en l’homme le sentiment de toute puissance au point de lui faire perdre le contact avec la réalité.
On peut conseiller, à tous ceux que ce danger menace, lorsqu’ils tiennent dans les mains, une manette de jeu, la télécommande d’un robot, ou même en détenant le pouvoir de le faire obéir de la voix,
une lecture lente et appliquée de la phrase de Kepler homme de lettres et de sciences :
Cliquer sur l’image si la lenteur de la lecture à déchiffrer vous est insupportable.
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Un que j’aime beaucoup. Et je suis d’accord avec Monique Linard; nous ne sommes pas équipés pour faire face à l’instantanéité médiatique, au sens général. Merci, Aunryz, pour ce touillage de neurones.
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Avantage d’un déménagement avec bagages réduits* je n’ai emporté que quelques livres
dont ceux de Pierre Levy et celui de Monique Linard
j’ai donc tout le temps de m’y replonger (à nouveau … régulièrement depuis 25 ans)
Elle a vu il y a plusieurs décennies ce que des cerveaux brillants mais fascinés par la puissance sont incapables de ressentir de nos jours.
Merci de ton retour.
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* Mais pouvons toujours vous héberger tous les deux … si vous passez avant le mois de mai.
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Mercu infiniment, Aunryz. 2018 est une grande page blanche pour l’instant. La préparation de la retraite et la campagne de lancement de bébé aeolus en sont la cause. Une toute souriante journée à vous deux.
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En retard dans mes retours
(la tête dans le boulot)
Itou pour moi (la préparation à la vie après le travail rémunéré … reste l’autre (sourire)²)
Peut-être les pages vont-elles avoir un moment d’illustration commune
…
Bonne journée à vous deux.
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[…] (à lire dans le cadre) et un extrait d’un texte de Monique Linard [Le texte a 30 ans !] L’homme qui sait Très cordialement Luc Comeau-Montasse du fagot des Nombreux ———- Il y a une […]
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