L’art perforant

Esthétique partout, beauté nulle part?…

… peut-on lire dans la présentation que donne France Culture du billet culturel de Vendredi (29 septembre 2017).

L’image donnée (« Grossière ballerine de Jeff Koons ») illustre bien cette question, autant que le titre de l’émission (« Qu’est ce que la beauté aujourd’hui? ») , ces huit minutes (format condensé) de Mathilde Serrell.

A cet art contemporain (la méchante langue de Lélio Lacaille dit « Content pour rien »)
qui, en performant cherche souvent à choquer, à perforer, à s’introduire par surprise
ou violence même dans nos sens,
à cet art qui est, comme la plupart des activités phares de notre époque, du côté de la compétition, en matière de réponse à la question posée  :
(Emprunt à Hanns Johst)


L ART CONTEMPORAIN QUAND ON LUI PARLE-letex

L’image de fond évoque « l’oeuvre de Wang Luyan

Voir aussi au MAM de Saint Etienne

(solution)


L’art contemporain, quand on lui parle du beau, il sort son revolver.

2 commentaires sur “L’art perforant

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