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Le titre de cette page fut le thème des Rencontres Internationales de Genève de 1965.
(Le texte est disponible ici)
Encore fascinés par les progrès de la machine dans sa capacité à simuler l’humain, nombreux étaient alors ceux qui voyaient là les prémices d’une « intelligence » ou même dans l’automatisation de procédés utilisés en poésie par certains, une oeuvre « plus poétique » que celle d’Eluard, dans une séance de dégustation en aveugle
(p 238, lire les deux textes avant la présentation qui en est faire, celle-ci annonce lequel est le vrai – coquille dans la prise de note ? ).
Que reste-t-il à l’homme 50 ans, plus tard, alors qu’on pense à l’augmenter (corps et pensée) grâce aux performances de la machine ?
…
La fragilité, l’hésitation, le déséquilibre ?
Je trébuche, donc je suis !

