CAMPEMENT – ANDRÉ DHOTEL – 10

« Dans les maisons les plus humbles, les bruits d’ailleurs arrivent en foule lorsque la joie y est attendue. Les pluies qui tombent deviennent harmonieuses : …

 LA PAROLE D'AMOUR TOUT BAS MURMUREE SE DELIVRE DE LA POITRINE ET S EN VA SUR LES ROUTES DU MONDE-let  

      

                         —                            

Extrait du roman « Campement »
de André Dhotel

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Parcours de lecture

LA PAROLE D'AMOUR TOUT BAS MURMUREE SE DELIVRE DE LA POITRINE ET S EN VA SUR LES ROUTES DU MONDE-s

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Dans les maisons les plus humbles, les bruits d’ailleurs arrivent en foule lorsque la joie y est attendue. Les pluies qui tombent deviennent harmonieuses : La parole d’amour tout bas murmurée se délivre de la poitrine et s’en va sur les routes du monde.

LES PROMENADES DE JEAN GIONO – PIERRE MAGNAN (textes) DANIEL FAURE (photographies) – 1




TOUS LES HEROS DE GIONO MARCHENT SOUVENT SEULS PARFOIS ACCOMPAGNES D UN ATELAGE-let                                                 

Extrait du « beau livre »
« Les Promenades de Jean Giono »

de Pierre Magnan

parcours de lecture

TOUS LES HEROS DE GIONO MARCHENT SOUVENT SEULS PARFOIS ACCOMPAGNES D UN ATELAGE-s

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 On ne voyait presque plus la graine des étoiles

NO ET MOI – DELPHINE DE VIGAN – (Citations choisies par des élèves ) – 15 – (Jonas C.) (Zinedine E.)

   Lettres au collège de Buis les Baronnies

                                  



IL SUFFIT QUE QUELQU UN TENDE SA MAIN POUR QU ON SENTE SOUDAIN COMBIEN ON EST FRAGILE VULNERABLE-let

                                 

Extrait du roman « No et moi« 

de Delphine de Vigan

collecté et proposée par Jonas C.
et Zinedine E.

Leur commentaire :

IL SUFFIT QUE QUELQU UN TENDE SA MAIN POUR QU ON SENTE SOUDAIN COMBIEN ON EST FRAGILE VULNERABLE-com

IL SUFFIT QUE QUELQU UN TENDE SA MAIN POUR QU ON SENTE SOUDAIN COMBIEN ON EST FRAGILE VULNERABLE-com12

Parcours de lecture

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Moi je sais que parfois il vaut mieux rester comme ça, à l’intérieur de soi, refermé. Car il suffit d’un regard pour vaciller, il suffit que quelqu’un tende sa main pour qu’on sente soudain combien on est fragile, vulnérable, et que tout s’écroule, comme une pyramide d’allumettes.

Il n’y a pas eu d’interrogatoire, pas de méfiance, pas de doute, pas de marche arrière. Je suis fière de mes parents. Ils n’ont pas eu peur. Ils ont fait ce qu’il y avait à faire.

L’ETRANGER – HOWARD PHILIPPS LOVECRAFT – (Le livre) – 1


L ENDROIT ETAIT VIEUX SI VIEUX AVEC DES ETAGERES MONTANT JUSQU AUX PLAFONDS REMPLIES DE VOLUMES POURRISSANTS-let

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Extrait de la nouvelle « le livre »
du recueil  « L’étranger »
de Howard Phillips Lovecraft

Traduction de François Bon

parcours de lecture

L ENDROIT ETAIT VIEUX SI VIEUX AVEC DES ETAGERES MONTANT JUSQU AUX PLAFONDS REMPLIES DE VOLUMES POURRISSANTS-s

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The Lovecraft Monument
Le site où l’on peut suivre le formidable travail (de traduction) de François Bon
pour redonner au verbe de H P Lovecraft, en français,
toute la puissance et le pouvoir poétique qu’il a dans la langue de l’auteur.
(librairie – ensemble des œuvres disponibles)

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D’un côté je sais que je parle, j’ai cette impression vague que peut-être il faudrait une atroce médiation pour porter ce que je dis à l’endroit où je voudrais qu’on le comprenne. Mon identité est un brouillard si ahurissant. Je pense que j’ai souffert d’un choc, un grand choc – peut-être venu des monstrueuses excroissances des cycles de mon unique et incroyable expérience.
Et que ces cycles d’expérience dérivaient tous évidemment de ce livre mangé aux vers. Je me souviens de quand je l’ai trouvé – dans la faible lumière près de la rivière noire et huileuse où toujours tourbillonnent les brumes. L’endroit était vieux, si vieux, avec des étagères montant jusqu’aux plafonds, remplies de volumes pourrissants qu’on atteignait à travers une suite sans fin de pièces sans fenêtres et d’alcôves. Et encore à leur pied les tas sans forme d’un grand nombre d’autres livres, à même le plancher ou dans des coffres grossiers ; et c’est dans un de ces tas que je l’avais trouvé. Je n’ai jamais su son titre, parce que les premières pages manquaient ; mais il était tombé ouvert vers la fin, et j’y saisis d’un regard ceci, qui me fit chanceler le sens.