LE JOURNAL D’ANNE FRANK – ANNE FRANK – 04

« Le poème était très réussi ! Il parlait d’une maman cane et d’un papa cygne, et de leurs  …


  TROIS PETITS CANARDS QUE LEUR PERE TUA EN LES MORDANT PARCE QU ILS FAISAIENT TROP DE COIN COIN-let

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Extrait du roman « Journal d’Anne Frank »
de Anne Frank

parcours de lecture
TROIS PETITS CANARDS QUE LEUR PERE TUA EN LES MORDANT PARCE QU ILS FAISAIENT TROP DE COIN COIN-s

En clair (sur babelio)

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TROIS PETITS CANARDS QUE LEUR PERE TUA EN LES MORDANT PARCE QU ILS FAISAIENT TROP DE COIN COIN-txt

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Un extrait plus long qui contient cette citation

TROIS PETITS CANARDS QUE LEUR PERE TUA EN LES MORDANT PARCE QU ILS FAISAIENT TROP DE COIN COIN-txt2

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Mes arguments ont beaucoup amusé M. Keesing, mais quand j’ai repris mon heure de bavardage au cours suivant, la deuxième punition est tombée. Cette fois, le sujet était : « Une pipelette incorrigible. » J’ai remis ce second devoir et, pendant deux cours, Keesing n’a pas eu à se plaindre. Mais au cours d’après, il a trouvé que je recommençais à dépasser les bornes. « Anne Frank, comme punition pour bavardage, vous me ferez une rédaction sur le sujet : « Coin, coin, coin », dit Mademoiselle Cancan. » Toute la classe a éclaté de rire. Moi aussi, même si mon imagination s’épuisait sur le thème du bavardage. Il fallait trouver autre chose, qui sorte de l’ordinaire. Mon amie Sanne, une poétesse de talent, me proposa de m’aider à mettre la rédaction en vers de la première à la dernière ligne. Je jubilais. En me donnant ce sujet idiot, Keesing voulait se payer ma tête avec mon poème on verrait bien qui rirait le dernier. Le poème était très réussi ! Il parlait d’une maman cane et d’un papa cygne, et de leurs trois petits canards, que leur père tua en les mordant parce qu’ils faisaient trop de coin-coin. Heureusement, Keesing prit bien la plaisanterie, il lut le poème dans notre classe en y ajoutant ses commentaires et en fit même profiter d’autres classes. Depuis, j’ai le droit de parler et je ne suis jamais punie, au contraire, Keesing me reprend toujours en plaisantant.