« Le chant du monde » – Jean Giono – page 6

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Peu de temps après la publication des chants du monde, un critique de l’Hebdomadaire « Notre Temps », signant J. Ch.*  écrivait à propos de ce livre des mots qui prennent un sens particulier à notre époque, où de plus en plus nombreux sont ceux qui se pose la question de cette place.
« Jean Giono a publié l’an dernier, un roman où l’homme ne tient que sa place« 

* Merci à celle ou celui qui pourrait dire à qui correspond cette signature)


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Sixième page …

Le soleil est déjà couché.
Il s’agit de traverser « le fleuve » (la rivière).
Antonio qui y est entré, pense
– il est celui qui le connaît le mieux –
savoir où se trouve le gué

heureusement, Matelot est là, à cheval.

 


Ils étaient presque dans le plus plat du gué. Ils entendaient siffler les crinières d’écume. Soudain, Antonio toucha la terre, avec son ventre la terre devant lui. La terre du bord avec des racines pendantes par-dessous. Il lança son bras dans la nuit. Un arbre. Un bouleau. Le bord. Ils étaient au bord.
– Monte vite.
– Déjà, dit Matelot.
– Il m’a trompé, dit Antonio. …»

 

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… Je croyais connaître. On croit toujours connaître. Mais ça ne raisonne pas comme nous, alors c’est difficile. »


 

Belle leçon que nous donne ici Antonio.

[Savoir est toujours possible
Comme résultat du recueil de toutes les données mesurables du passé
mais 
connaître est bien autre chose.]

 

 


 

Cliquer sur le titre pour télécharger le cahier « Pour saluer Giono N°2

L’iris de Suze (format pdf)

(gratuit)

Le cahier comporte comporte
– Des évocations courtes des 24 premières pages du roman
avec extrait en clair et en jeu (et illustrations)
– Ainsi qu’une page de la fin (qui ne dévoile rien)
– Les solution en fin de cahier (parcours et citation en clair).

 

 


 

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LE JOURNAL D’ANNE FRANK – ANNE FRANK – 05

Ne pas PRIVER Anne
qu’elle puisse enfin se rendre partout librement

Pour la libération de ses écrits conformément à la loi en 2016
et non à des magouillages en forme de billet de banque.

Ce blog est solidaire du mouvement en faveur de la diffusion de l’oeuvre d’Anne Frank (Explication ici sur Affordance)



Aujourd’hui, je donne un extrait complet, en lecture … rapide
Il nous apprend qu’Anne a relu son journal et …
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(Ralentir sa lecture sur ces mots là)

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Et on comprend pourquoi le journal d’Anne Frank doit être lu dans son entier et pour cela, disponible à minima comme l’a prévu la loi, en 2016.


ZANONI – EDWARD BULWER-LYTTON (sir) – 5

« De toutes les faiblesses qui attirent les railleries des êtres médiocres, aucune n’est aussi bien partagée que la crédulité; ajoutons que la tendance à l’incrédulité est l’indice infaillible d’un cœur perverti et d’un cerveau faible…

LA PHILOSOPHIE CHERCHE MOINS A NIER QU A COMPRENDRE-let

                                                                          …Tous les jours nous entendons de soi-disant savants parler de l’absurdité de l’alchimie et de la fiction de la pierre philosophale »

Extrait du roman « Zanoni ou la sagesse des Rose-Croix »
de Edward Bulwer-Lytton

parcours de lecture
LA PHILOSOPHIE CHERCHE MOINS A NIER QU A COMPRENDRE-s

En clair (sur babelio)

*

LA PHILOSOPHIE CHERCHE MOINS A NIER QU A COMPRENDRE-txt

Un extrait plus large où se trouve cette citation

LA PHILOSOPHIE CHERCHE MOINS A NIER QU A COMPRENDRE-txt2

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On peut s’aider des TAGS
ils donnent certains mots de la grille.

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Pour agrandir la grille de jeu, cliquer dessus


N’hésitez pas à signaler une éventuelle erreur – merci d’avance


De toutes les faiblesses qui attirent les railleries des êtres médiocres, aucune n’est aussi bien partagée que la crédulité; ajoutons que la tendance à l’incrédulité est l’indice infaillible d’un cœur perverti et d’un cerveau faible.
La philosophie cherche moins à nier qu’à comprendre.

Tous les jours nous entendons de soi-disant savants parler de l’absurdité de l’alchimie et de la fiction de la pierre philosophale, alors que d’autres à l’esprit moins superficiel n’ignorent pas que c’est aux alchimistes que nous devons les plus grandes découvertes qui aient jamais été faites.

Plus d’un texte, aujourd’hui obscur, pourrait, si nous avions la clef du langage symbolique qu’ils ont été obligés de conserver, mettre sur la voie de découvertes scientifiques plus précieuses encore.