Cartes postales de la Chine ancienne – l’Apatride (via Anh Mat) – 2 –

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A la racine de ce recueil de poésies de la Chine ancienne
se trouve la biographie
ou comme il préfère la désigner
« Les poussières de vie » du traducteur, puis celles des 8 poètes qu’il a choisi.

L’extrait donné ici provient d’un des textes du premier poète cité par l’apatride : Tao Yuan Ming
dont il rapporte que
« il habitait dans une hutte et composait des poèmes, se remettait sans arrière-pensée au destin des fleurs. »

Une présentation chez l’éditeur (Jan Doets) 


LE DINER ET LA SOIREE DEJA - letc1-exp

(Si tu es perdu dans cette lecture
tente celle-ci
pour laquelle les liens entre les mots sont donnés
– à cliquer – )

LE DINER ET LA SOIREE DEJA - letc1-sr

Extrait du poème de
Tao Yuan Ming
« les prémices d’un poème »
du recueil
« Cartes postales de la Chine ancienne »
redonnées en français par L’apatride
(transmis par Anh Mat)

On Peut se procurer ce recueil
aux éditions Qazaq
—–

Parcours de lecture

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En clair

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Les prémices d’un poème

le temps soudain maussade vers là-bas
sur ce sentier à travers buissons et ravins
je rentre poser ma canne après le torrent
où joyeux j’ai trempé mes pieds nus
pour ce vin printanier du cru nouveau
j’ai égorgé un poulet au soleil couchant
invitant un voisin dans ma hutte sauvage
toute éclairée de torches en branchages
ainsi le dîner et la soirée… déjà la fête fut courte
déjà l’aube qui se lève… des prémices d’un poème

LIVRE DES PEURS PRIMAIRES- N°90 – GUILLAUME VISSAC (5)

Peur primaire contenue

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Extrait du « livre des peurs primaires»
de Guillaume Vissac

Peur primaire N° 90

Lecture plus lente
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(à cliquer)

parcours de lecture

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En clair

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Chez publie.net  :   Guillaume Vissac

Son site « Fuir est une pusion »

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S’approcher doucement jusqu’au bord et voir vibrer ce vide, aube écrasée, lourdeur d’août.

BLANCS – LOUISE IMAGINE ET JEAN-YVES FICK – 4

IL N'Y A PAS D'AUBE SANS CE QUI CREUSE LA NUIT CRIE ET FINIT PAR CONSTELLER CE QUI SANS CELA EST VIDE

 Extrait de  « BLANCS »
Photographies de Louise Imagine et Poésies deJean-Yves Fick


Solution
IL N'Y A PAS D'AUBE SANS CE QUI CREUSE LA NUIT CRIE ET FINIT PAR CONSTELLER CE QUI SANS CELA EST VIDE-s

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(On peut s’aider des mots clés)


Chez Publie.net : Jean-Yves Fick

Louise Imagine