La ville,
(par exemple Metz)
en piéton libre,
j’en aimais :
– les lieux où les Nombreux se mélangeaient,
comme chez Mathis (du temps d’Italo) en Jurue,
où les profs de fac, les artistes et les maçons en bleu maculé,
rencontraient les « inqualifiables » comme l’ami René.
– le vieux fond (aux listes de dons troués par de vieux larcins)
de la médiathèque
et le silence de ceux qui s’y abreuvaient.
Alors,
ces temps-ci,
la nature tenant horaire du vide,
ça m’manque
…
un peu.
Mais plus encore,
les après-midi, rue des Allemands, par le libraire et sa clientèle.