POUR RIRE -25- (Pierre Doris)

Une  grille
pour rire

La première lettre de chaque mot est
mise en couleur et en italique.
Chaque mot est entouré d’une limite.
Le lien entre chaque mot et le suivant indiqué par un point rouge
La phrase à déchiffrer est composée de mots qui se suivent.


Pierre Doris

Tromperie sur la « marchandise »

« Je regrette de ne plus pouvoir épouser votre fille mais
vous ne m’aviez pas dit qu’elle boitait…

D ACCORD MAIS D UNE SEULE JAMBE - letc1-exp


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– Je regrette de ne plus pouvoir épouser votre fille mais
vous ne m’aviez pas dit qu’elle boitait…

– D’accord ! Mais d’une seule jambe !


LOTUS SEVEN – CHRISTINE JEANNEY -1-

 

[Une voiture mythique,
d’une série télévisée : « Le prisonnier »
devenue elle même un mythe.]

 

ON NE MONTE PAS BRUTALEMENT - letcr1-s

 

(à cliquer)

ON NE MONTE PAS BRUTALEMENT - letcr1-exp

Extrait de Lotus Seven

de Christine Jeanney

Parcours de lecture

ON NE MONTE PAS BRUTALEMENT - sr

En clair

ON NE MONTE PAS BRUTALEMENT - txt0r

Extrait plus long

ON NE MONTE PAS BRUTALEMENT - txt1r

Le générique du premier épisode du prisonnier
L’arrivée

https://www.youtube.com/watch?v=fk_CfPEjU10

L’épisode complet (s’il existe encore ici)


 

Présentation de l’oeuvre par Thierry Beinstingel

Christine Jeanney
aux éditions publie.net
aux éditions qazaq

son espace d’écriture sur la toile : Tentatives


Que le début, personne encore, quand le point s’allonge et s’approche, ne sait nommer Lotus Seven, personne ne sait encore décrire, bien trop rapide et bien trop neuf. Le nouveau né germé à dévisager soupeser et sentir avant la mesure de son visage et si un contact s’établit. Lotus Seven qui fuse alors que pas encore construite.
Se pencher sur elle plus tard, Lotus Seven, nom à réhydrater de mémoire alors qu’elle file. On ne monte pas brutalement dans ce rêve, à bord de cette réinvention de ferraille idéale, bouts éclats tiges joints si pertinents unis ensemble à oublier que c’est bricoles, menue monnaie, de boulons, de billes, roulée au sol et privée de matière.

COLLINE – JEAN GIONO – 14

 

Un livret gratuit
entièrement dédié à l’oeuvre de Jean Giono
(extraits des nouvelles, romans et pièces de théâtre
à redécouvrir en jeu)
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Pour saluer Giono au format PDF

Livret « Pour saluer Giono »

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[Qui penserait qu’il est ici question
d’un crapaud ?]

SES YEUX SONT PAREILS A DES GRAINS - letc1-exp


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le lien entre les mots

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SES YEUX SONT PAREILS A DES GRAINS - letc1-sr

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Extrait du roman « Colline »
de Jean Giono

parcours de lecture

SES YEUX SONT PAREILS A DES GRAINS - sr

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En clair (sur babelio)

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SES YEUX SONT PAREILS A DES GRAINS - txt0r

Un extrait plus long

SES YEUX SONT PAREILS A DES GRAINS - txt1r

  (Janet est à l’agonie
autour de lui
pour conjurer le sort
des histoires étranges
naissent sur les lèvres.
Ici il est question d’un crapaud)

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Merci de signaler une erreur 


« Le crapaud qui a fait sa maison dans le saule est sorti.
« Il a des mains d’homme et des yeux d’homme.
« C’est un homme qui a été puni.
« Il a fait sa maison dans le saule avec des feuilles et de la boue.
« Son ventre est plein de chenilles et c’est un homme.
« Il mange des chenilles, mais c’est un homme, n’y a qu’à regarder ses mains.
« Il les passe sur son ventre, ses petites mains, pour se tâter : C’est bien moi, c’est bien moi, qu’il se demande dans sa jugeote, et il pleure, quand il est bien sûr que c’est lui.
« Je l’ai vu pleurer. Ses yeux sont pareils à des grains de maïs et, à mesure que ses larmes coulent, il fait de la musique avec sa bouche.
« Un jour, je me suis dit : “Janet, qui sait ce qu’il a fait comme ça, pour avoir été puni, et qu’on lui ait laissé seulement ses mains et ses yeux ?”
« C’est des choses que le saule m’aurait dites si j’avais su parler comme lui. J’ai essayé. Rien à faire. Il est sourd comme un pot.
« Nous deux, avec le crapaud, ça est bien allé jusqu’à la Saint-Michel ; il venait au bord des herbes pour me regarder.
« Je lui disais : “Oh collègue. Et alors, quoi de neuf ?” Quand j’arrosais, il me suivait.
« Une fois, c’était la nuit, je l’ai entendu venir ; il se traînait dans la boue et il faisait clou, clou, avec sa bouche pour faire venir les vers.
« Ils sont venus en dansant du ventre et du dos. N’y avait un gros comme un boudin blanc tout pomponné de poils ; un autre qui semblait un mal de doigt.
« Le crapaud a mis ses pattes sur mes pieds.
« Ses petites mains froides sur mes pieds, j’aime pas ça. Il en avait pris l’habitude, le gaillard. Chaque fois que j’arrivais, j’avais beau me méfier, y posait toujours sa petite patte froide sur mes pieds nus.
« À la fin, j’en ai eu assez. Je l’ai eu juste au sortir de sa maison.
« Il cloucloutait doucement. Il tenait un ver noir et il le mangeait. Il avait du sang sur les dents ; du sang plein sa bouche et ses yeux de maïs pleuraient.
« Je me dis : “Janet, c’est pas de la nourriture de chrétien, ça, tu feras bonne œuvre…”
« Et je l’ai partagé d’un coup de bêche.
« Il fouillait la terre avec ses mains ; il mordait la terre avec ses dents rouges de sang. Il est resté là avec sa bouche pleine de terre et des larmes dans ses yeux de maïs… »

Sa turne et la tienne – aunryz

[Le lieu que tu habites est précieux, ta chambre, ton corps …
sur lui tu as tous les droits
aussi …]

PRENDS TOUT TON TEMPS - letcr1-exp

 

 

Parcours de lecture

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Prends tout ton temps
pas celui des autres