LE VILLAGE PATHÉTIQUE – ANDRÉ DHÔTEL – 5

(Dans les ruelles du village)

       C ETAIT UNE PRISON OU LA VERDURE - letcr1-exp       

Extrait du roman « Le Village pathétique »
de André Dhotel

 —

Parcours de lecture

C ETAIT UNE PRISON OU LA VERDURE - srr

 —

En clair

C ETAIT UNE PRISON OU LA VERDURE - txt0r

 


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C’était une prison où la verdure emplissait les murailles si bien que les voies d’accès restaient invisibles.

LA PROMESSE DE L’AUBE – ROMAIN GARY – 02

«Elle vint s’asseoir à côté de moi, son éternelle gauloise à la main.
– Ne pleure pas.
– Laisse-moi.
– Ne pleure pas. Je te demande pardon. Tu es un homme, maintenant. Je t’ai fait de la peine.
– Laisse-moi, je te dis! …

UN TRAIN PASSA SUR LA VOIE IL ME PARUT SOUDAIN QUE C ETAIT MON CHAGRIN QUI FAISAIT TOUT CE FRACAS-let

                                                                          …– Je ne recommencerai plus.
Je me calmai un peu. Nous étions assis sur le remblai tous les deux, les bras sur les genoux, regardant de l’autre côté. Il y avait une chèvre attachée à un arbre, un mimosa. Le mimosa était en fleurs, le ciel était très bleu, et le soleil faisait de son mieux. Je pensai soudain que le monde donnait bien le change. C’est ma première pensée d’adulte dont je me souvienne.»

Extrait du roman « La Promesse de l’aube»

de Romain Gary

Parcours de lecture

UN TRAIN PASSA SUR LA VOIE IL ME PARUT SOUDAIN QUE C ETAIT MON CHAGRIN QUI FAISAIT TOUT CE FRACAS-s

En clair

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UN TRAIN PASSA SUR LA VOIE IL ME PARUT SOUDAIN QUE C ETAIT MON CHAGRIN QUI FAISAIT TOUT CE FRACAS-txt

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Un extrait plus complet qui contient cette citation

UN TRAIN PASSA SUR LA VOIE IL ME PARUT SOUDAIN QUE C ETAIT MON CHAGRIN QUI FAISAIT TOUT CE FRACAS-txt2


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J’étais en train de pleurer dans l’herbe, lorsque je vis ma mère apparaître en haut du talus. Je ne sais comment elle avait découvert l’endroit: personne n’y venait jamais. Je la vis se baisser pour passer sous les fils de fer, puis descendre vers moi, ses cheveux gris pleins de lumière et de ciel. Elle vint s’asseoir à côté de moi, son éternelle gauloise à la main.
– Ne pleure pas.
– Laisse-moi.
– Ne pleure pas. Je te demande pardon. Tu es un homme, maintenant. Je t’ai fait de la peine.
– Laisse-moi, je te dis!
Un train passa sur la voie. Il me parut soudain que c’était mon chagrin qui faisait tout ce fracas.
– Je ne recommencerai plus.
Je me calmai un peu. Nous étions assis sur le remblai tous les deux, les bras sur les genoux, regardant de l’autre côté. Il y avait une chèvre attachée à un arbre, un mimosa. Le mimosa était en fleurs, le ciel était très bleu, et le soleil faisait de son mieux. Je pensai soudain que le monde donnait bien le change. C’est ma première pensée d’adulte dont je me souvienne.

LIVRE DES PEURS PRIMAIRES – GUILLAUME VISSAC – 01

MES JAMBES RETOMBENT A MA PLACE DANS LE WAGON MON TORSE ET CRANE RETOMBENT SUR LA VOIE-

…à cent mètres de là. »

Extrait du « livre des peurs primaires»
de Guillaume Vissac

Solution

MES JAMBES RETOMBENT A MA PLACE DANS LE WAGON MON TORSE ET CRANE RETOMBENT SUR LA VOIE-s

En clair

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Chez publie.net  :   Guillaume Vissac

Son site « Fuir est une pusion »

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