« L’iris de Suse » – Jean Giono – 15

« C’est aller plus loin que la lune
mais qui le saura »

écrit Jean Giono dans sa présentation du titre.


Quizième page,
Tringlot profite de l’anonymat
que procure la nuit

et se restaure enfin.
A attendre longtemps son repas
un rien lui est … Byzance.


 

« La nuit était tombée. Il allait pouvoir faire des quantités de choses dans ces ombres et ces ronds de lumières rouges. Boire encore, bien entendu, mais d’abord manger. Après il irait chercher des trucs par-ci par-là, sans imprudence.  …

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Il acheta deux sous de pain et trois sous de cervelas.Ce pain était de première bourre et la charcuterie : un luxe !»

 

Le beaujolais nouveau est arrivé [d’après « Déclaration arrosée » de Philippe de la Fuente]

le-beaujolais-nouveau-c-est-un-peu-let*

*

[Noces de
canailles]
*

*


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L’image est extraite de la désopilante
« Déclaration arrosée » de Philippe de la Fuente


Le beaujolais nouveau c’est un peu comme le miracle des petits pains, avec quelques grappes obtenir tant de vin

[Almanach] … Guillaume Apollinaire

[Croqué par Picasso … en roi malheureux]

Vendredi 27 Juin 1952
les éditions Gallimard publiaient
de
Guillaume Apollinaire
(Wilhelm Apollinaris de Kostrowitzky )

« Le Guetteur mélancolique »
(recueil de poèmes … retrouvés)

 JE SUIS UN ROI QUI N EST-letcr1-exp

        (à cliquer pour obtenir le parcours de lecture)*

Le poème entier


Proposition de lecture

 


D’autres poèmes du même recueil
chez Babelio


O mon coeur j’ai connu la triste et belle joie D’être
trahi d’amour et de l’aimer encore
O mon coeur mon orgueil je sais je suis le roi
Le roi que n’aime point la belle aux cheveux d’or
Rien n’a dit ma douleur à la belle qui dort
Pour moi je me sens fort mais j’ai pitié de toi
O mon coeur étonné triste jusqu’à la mort
J’ai promené ma rage en les soirs blancs et froids
Je suis un roi qui n’est pas sûr d’avoir du pain
Sans pleurer j’ai vu fuir mes rêves en déroute
Mes rêves aux yeux doux au visage poupin
Pour consoler ma gloire un vent a dit
Écoute Élève-toi toujours. Ils te montrent la route
Les squelettes de doigts terminant les sapins.

LE GARDE-BARRIÈRE – ANDREA CAMILLIERI – 1

(un extrait qui sonne comme un proverbe) 

ON NE PRETE-letc1Extrait du roman
« Le garde-barrière »
de Andrea Camilleri

parcours de lecture

ON NE PRETE-s

En clair (sur babelio)

*

ON NE PRETE-txt

Un extrait plus long autour de celui-ci

ON NE PRETE-txt2

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Comme il était arrivé un peu en avance à son rendez-vous avec Totò devant le café Castiglione, Nino décida de faire un saut sur la place derrière la mairie, vérifier les numéros sortis au tirage de Palerme. Il était convaincu d’avoir écampillé ses trois lires de mise, la chance n’était pas de son côté, il le savait. Les pécuniaux, c’est comme le tonnerre, ça ne tombe jamais sur ceux qui les méritent. Qui avait gagné des ternes ou des quaternes, si ce n’était Mme Burruano, patronne de deux magasins de tissu, ou don Japichino, propriétaire de cinq maisons ? Tant il est vrai qu’on ne prête du pain qu’à celui qui a de la farine !