12 Septembre 1891 …

… l’Écho du Boulevard, crucifie Joséphin Péladan homme de tous les excès, mais auquel on doit une fine analyse (et plus) du peintre et de l’homme Léonard De Vinci, et particulièrement ici, de ce qui est considéré comme son chef d’œuvre.

(extrait de « La dernière leçon de Léonard de Vinci à son Académie de Milan« )


… bestialise.

(Cliquer sur l’image pour lire plus facilement)


Malraux semble avoir repris dans un discours de présentation de la Joconde aux USA, de façon plus succincte, ce rapprochement que fait Joséphin Péladan, de la statuaire Grecque :

« Léonard apportait à l’âme de la femme l’idéalisation que la Grèce avait apportée à ses traits. La mortelle au regard divin triomphe des déesses sans regard. C’est la première expression de ce que Goethe appellera l’éternel féminin »